samedi 9 février 2013

La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis - Dixit un Orphelin lui-même

Dans le sillage du scandale des pensionnats indiens
La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis - Dixit un Orphelin lui-même
Pendant ce temps, nouveau gouvernement mais même silence complice

Par le passé, j'ai abordé à quelques reprises dans mes écrits les très graves problèmes qui subsistent présentement avec le Département de la Protection de la Jeunesse, mieux connue sous le nom de DPJ, un sujet tabou au Québec s'il en est un (comme le fait que le site sosquebec.com, qui dénonce ouvertement les abus de la DPJ, était actuellement hors-ligne contre la volonté et à l'insu de son propriétaire au moment d'écrire cet article, mais rétabli depuis).  Les cas que j'ai rapportés alors étaient basés sur des témoignages et des preuves documentées qui me furent amenés par des parents vivant eux-même ces abus, et ce n'est qu'après une analyse rigoureuse du matériel qui m'a été amené que j'ai décidé d'appuyer ces gens de ma plume, histoire d'être certain de ne pas endosser des parents qui maltraitent leurs enfants et qui manipuleraient les faits pour rendre les apparences à leur avantage.  Car voilà bien là un des préjugés qui a la vie la plus dure au Québec quant il est question de la DPJ, et surtout dans le cas de parents dénonçant les abus de cet organisme soit-disant destiné à la protection de l'enfance, celui selon lequel on se dit que si la DPJ est intervenue auprès d'une famille et qu'elle leur retire le droit de garde de leur enfant, c'est que forcément les parents ont quelque chose à se reprocher, et sont donc moins digne de notre attention face à leurs doléances.  Nous sommes donc généralement enclins à nous montrer sceptique face à ces histoires d'horreur concernant la DPJ, et encore plus à la lumière des faits qui sont reprochés à la DPJ qui sont tellement gros, tellement flagrant et illogique, que notre premier réflexe est d'immédiatement considérer qu'il s'agit là d'exagérations, de fabulations, de pathos ou, dans le meilleur des cas, qu'il ne s'agit que de cas isolés.  Ces préjugés, ainsi qu'une peur sourde mais viscérale que la DPJ peut éventuellement nous faire payer le prix cher (le sang de notre sang) si jamais on a le malheur d'attirer leur attention sur nous, particulièrement dans l'atmosphère de corruption généralisée qui prévaut actuellement dans la province, et vous avez là la recette d'une belle omerta qui est en train de tuer à petit feu l'avenir même de notre peuple et de notre nation.

J'ai moi-même dû, suite à ces quelques articles traitant de ce sujet, me distancer de cette polémique tant j'ai été sollicité de toutes parts pour aider à faire connaitre au public les différents drames vécus par de nombreuses familles désemparées au Québec, histoire de ne pas perdre le focus de mon objectif premier qui est celui de l'implantation d'une démocratie directe au Québec (et qui je l'espère saura apporter des pistes de solutions concernant les problèmes reliés à la gestion de la justice à travers l'implication collective de la population dans la vie démocratique) et également pour m'isoler de la charge émotive associée à chaque cas, ne désirant pas me faire envahir par quelque chose qui me dépasse alors que ma propre vie personnelle est plutôt chamboulée en ce moment.  Heureusement, un homme comme M. Christian Dumont a pris le relais de cette tâche herculéenne en donnant une voix à ces parents et grands-parents en détresse à travers son blog http://christiandumont.ca/?s=DPJ .

La raison pour laquelle je ramène ce sujet sur le tapis aujourd'hui, outre le fait que rien n'a changé depuis le temps de mes premières dénonciations, c'est que j'ai récemment été contacté non pas par un membre de la famille rapprochée d'un enfant victime de la DPJ, mais par une psycho-éducatrice avec près de 20 ans d'expérience, Mme Chantal Mino, ce qui signifie que non seulement apporte-t-elle un point de vue professionnel sur la chose mais également un témoignage exempt d'émotivité autre que le simple bien-être des enfants et des parents concernés comme tout le monde le désire généralement pour autrui, sans attache parentale avec les enfants concernés et donc libre de tout biais émotif direct avec l'enfant pouvant venir influencer indûment sa perception des choses.  Elle apporte à la fois un regard de l'extérieur sur la situation que vivent ces familles, et un regard de l'intérieur concernant le fonctionnement des institutions liées à la protection de la jeunesse, et ce de manière honnête et objective.

Faisant une distinction très claire entre les Centres Jeunesse et la DPJ, qui sont des organismes opérant selon des règles et des lois différentes malgré une certaine confusion entretenue à ce sujet par la DPJ, Mme Mino, qui possède une vaste expérience en Centre Jeunesse, n'a été mis au courant des horreurs qui sévissent à la DPJ il n'y a que deux ans, lorsqu'une avocate lui a demandé de s'occuper d'un dossier en particulier.  Elle qui croyait tout d'abord à un cas isolé et qui ne planifiait pas s'occuper de d'autres cas liés à la DPJ après celui-ci, s'occupe maintenant de pas moins de 9 cas tous liés à des problématiques avec la DPJ, et dont elle n'hésite plus maintenant de parler de gangrène généralisée au sein du Département de la Protection de la Jeunesse, n'adhérant désormais plus à la thèse des "cas isolés".

Avant d'aller plus loin, je laisse la parole à Mme Mino elle-même par le biais de cette entrevue radiophonique donnée sur les ondes de Radio Centre-Ville le 1er février dernier.  Mise en contexte de l'entrevue : Amir Khadir, qui était en ondes précédemment par le truchement du téléphone, a subitement dû mettre fin à l'entrevue à cause de soit-disant problèmes avec son téléphone lorsqu'il a appris que Mme Mino était en studio et désirait profiter de l'occasion pour lui poser 2 questions.  Le résultat est cette entrevue d'une quinzaine de minutes dans lequel Mme Mino à toute la place voulue pour exposer les problèmes qu'elle désire dénoncer, et en profite par le fait même pour rediriger ses questions originalement prévues pour Khadir vers l'ensemble de l'Assemblée Nationale.

EXTRAIT RADIO MP3


La raison pour laquelle elle m'a contacté était pour me faire part d'un cas en particulier qu'elle considère très urgent car l'enfant est maintenu sous contention chimique (on le bourre de psychotropes pour qu'il reste tranquille!) sans supervision médicale adéquate, et ce malgré l'avis de nombreux professionnels impliqués dans le dossier témoignant non seulement de l'inutilité d'une telle mesure, mais également son effet extrêmement néfaste pour le développement futur de l'enfant, qui vit une telle situation depuis l'age de 4 ans et qui en a maintenant 9 aujourd'hui, et pour qui on craint sérieusement pour sa vie tant physique que psychologique.  On parle ici d'un enfant qui au départ n'avait qu'un simple retard de langage, retard qu'il était justement en train de rattraper à l'époque grâce à des services spécialisés.  L'enfant vivait alors avec sa mère et sa grand-mère maternelle.  Il s'avère que le père souffre d'un problème psychiatrique confirmé et documenté, et que celui-ci fait une sorte de projection de ses propres problèmes sur son fils, n'acceptant pas le diagnostic relativement bénin d'un retard de langage et suspectant davantage un problème qui serait plus lié à un trouble envahissant du développement (TED), dans ce cas-ci l'autisme, et ce malgré les opinions médicales contraires et les nombreuses preuves vidéos où l'enfant démontre clairement des comportements qui sont incompatibles avec un diagnostic d'autisme.  Cependant, la soeur du père est médecin, et malgré qu'elle soit au courant des problèmes psychiatriques de son frère, décide tout de même de collaborer à son jeu en émettant un diagnostic d'autisme pour l'enfant en question, allant ainsi pourtant contre toutes les règles de l'éthique professionnelle, particulièrement celles concernant les conflits d'intérêts.  La DPJ a ensuite assisté le père dans ses démarches pour reprendre la garde de l'enfant et ainsi le soustraire à l'environnement affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement éducatif spécialisé incompatible avec son état réel en plus de causer un traumatisme émotif causé par la séparation d'avec sa mère et sa grand-mère, traumatisme qui fut "géré" par voie de contention chimique.  Par la suite, le père a eu un nouvel enfant avec sa nouvelle conjointe, et ne désire plus avoir la garde de l'enfant.  Plutôt que de reconfier l'enfant à son milieu familial originel, d'où il n'aurait jamais du sortir d'ailleurs, il est plutôt envoyé en Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) alors qu'il est gavé de psychotropes qui le rendent dans un état de légume ambulant, histoire de contenir la rage et la détresse que tente d'exprimer l'enfant face à la situation intolérable qu'on lui fait subir.  Imaginez-vous alors que vous étiez enfant, ne serait-ce qu'un instant, de vous retrouver avec toutes vos facultés cognitives mais en étant forcé d'évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une clientèle lourdement handicapée mentalement, et coupé de tout lien affectif et familial significatif.  Imaginez les effets que cela aurait non seulement sur votre développement cognitif, sur le frein que cela peut mettre dans la réalisation du plein potentiel d'une personne, mais surtout du malaise et de l'inconfort qui n'auront d'autre choix un jour ou l'autre que de s'exprimer à travers la colère face à une telle atteinte à son propre développement personnel, et vous commencerez à comprendre le désespoir que tente d'exprimer cet enfant à travers ses crises, crises que la DPJ à choisi de réduire au silence par une camisole de force chimique plutôt que de reconnaitre ses erreurs et agir dans le bien de l'enfant en le retournant dans son véritable milieu familial.  Au contraire, la DPJ traite la mère et la grand-mère d'irresponsable à cause de leur refus de reconnaitre le faux diagnostic d'autisme.  Les problèmes se poursuivent au Tribunal de la Jeunesse, où la juge s'aligne sur les positions souvent mensongères de la DPJ plutôt que de garder son impartialité, allant même jusqu'à refuser le dépôt de preuves et l'écoute de témoignages qui vont à l'encontre de la position de la DPJ.  Cela a été jusqu'à la juge qui refuse de reconnaitre un diplôme issu d'une Université Québécoise afin d'empêcher Mme Mino de venir à la barre pour témoigner en tant que professionnelle.  La juge alla même jusqu'à refuser de se récuser dans se dossier, repoussant inutilement sa réponse concernant cette requête au mois de mars 2013, prolongeant ainsi les procédures et retardant le secours qui doit être apporté à l'enfant, ce qui devrait pourtant être sa toute première priorité.

Voici à cet effet un courriel que Mme Mino a envoyé aux principales instances politiques normalement impliqués dans un tel dossier :

From: chantalminopsed@live.ca
To: pauline.marois@assnat.qc.ca; vhivon-joli@assnat.qc.ca; daniel.michelin@msss.gouv.qc.ca; depute.chambly@justice.gouv.qc.ca; ministre@mels.gouv.qc.ca; mourama@parl.gc.ca; ministre@justice.gouv.qc.ca; boisvp@sen.parl.gc.ca; protecteur@protecteurducitoyen.qc.ca; presidence@cdpdj.qc.ca; jean.theoret@cdpdj.qc.ca; louise.sirois@cdpdj.qc.ca; ministre@msss.gouv.qc.ca; fdavid-goui@assnat.qc.ca; jduchesneau-stje@assnat.qc.ca

Subject: Ceux qui ont du pouvoir au Québec sont en train de laisser mourir un enfant pour protéger l'orgueil des intervenants de la DPJ
Date: Fri, 18 Jan 2013 19:39:42 -0500

Bonjour à vous tous !

Voici mon rapport d'évaluation psychoéducative dont la juge Rolande Matte a refusé le dépôt ce mercredi 16 janvier 2013, tout comme les témoignages de professionnels comme le pédopsychiatre Dr André Masse, moi-même et autres ainsi que des preuve testimoniales de la grave compromission du développement de cet enfant depuis 2008, i.e. des DVD d'évaluation pour le diagnostic de l'autisme (ADOS). De plus, la juge  a refusé de se récuser sur le banc et a demandé à l'avocat de la mère de faire la demande de récusation par écrit avec les notes sténographiques des Audiences et reporté le tout au mois de mars 2013 et pendant ce temps ... l'enfant est placé en famille d'accueil bien au-delà des 30 jours permis par la loi, expulsé de son école et de chez son père et bourré de médicaments pour qu'il se tienne tranquille dans l'expression de sa grande détresse, de sa grande souffrance psychique... car personne ne l'écoute depuis juin 2008 où la DPJ lui a enlevé ses principaux liens affectifs significatifs depuis sa naissance jusqu'à 4 ans et demi, soit sa mère et sa grand -mère maternelle qui sont traitées depuis comme des moins que rien et pire encore, comme des criminelles notoires. Il ne faut surtout pas montrer comment il était mieux avec sa mère et sa grand-mère avant que la DPJ ne lui enlève et constater dans quel état de marasme épouvantable la DPJ l'a mis aujourd'hui, vaut mieux le laisser mourir psychologiquement et lui détruire le cerveau avec de forts médicaments à la place semble-t-il ??? Il semble que cela est permis au Québec de tuer psychologiquement un enfant de la sorte plutôt que de reconnaître ses erreurs de jugements, mais il ne faut surtout pas que quelqu'un le démontre et que tout le monde le sache, alors les preuves et les témoins sont éliminés par la Chambre de la jeunesse à la demande de la DPJ.

Et bien moi, je le ferai savoir ce qui se passe à la Chambre de la jeunesse au Québec pour ne pas dire la Chambre de la détresse, et internationalement à part ça. C'est un scandale de prolonger les procédures afin de parvenir à tuer psychologiquement un enfant de 8 ans pour protéger des intervenants incompétents de la DPJ. La terre entière devrait savoir ce qui se passe ici au Québec dans notre société se disant évoluée, j'autorise quiconque à publier ma requête et mon rapport afin que la vérité sorte pour que cesse ces destructions de vies d'enfants, ceci est d'intérêt public, car il ne s'agit pas de cas unique et isolé, c'est systémique. C'est pourquoi une enquête publique est demandée depuis longtemps, mais il semble qu'au Québec ... C'est l'argent et la Loi du silence qui mène le bal ... et les enfants ... ça rapporte aucun argent, mais plutôt des dépenses.

Le gouvernement doit intervenir pour faire hospitaliser cet enfant d'urgence à l'hôpital Rivières-des-Prairies tel que le requiert son état lamentable qui risque de s'avérer irréversible si une personne qui a du pouvoir ne fait rien, sinon il sera complice de sa destruction. Le monopole d'incompétence de la DPJ doit cesser, des vies sont en jeu, n'entendez-vous pas les drames aux nouvelles ? Vous ne trouvez pas qu'il y a de plus en plus de cas isolés comme tente de le faire croire la DPJ ? Allez sur le site de Christian Dumont pour vous éclairer un peu plus : http://christiandumont.ca/?s=DPJ . Moi, je n'en ai pas besoin, je les vois dans le quotidien. Il est impensable que des intervenants qui ne font partie d'aucun ordre professionnel refusent d'entendre nombre de professionnels compétents faisant partie d'ordres professionnels afin que cet enfant soit traité comme un être humain et soigné tel que le requiert sa santé, on ne ferait même pas cela à un animal. Il est encore plus impensable que la Chambre de la jeunesse prenne partie d'avance pour les versions de la DPJ. Pourquoi existe-t-elle ? Cela nous coûterait beaucoup moins cher s'il n'y avait pas de Chambre de la jeunesse et cela reviendrait au même qu'avoir juste la DPJ qui décide tout d'avance, même à la place du juge. Tel que proposé par un avocat, les juges de la Chambre de la jeunesse devraient être formés en médiation avant tout. Cela ferait moins d'argent pour nombre d'avocats, mais sauverait beaucoup de petites vies humaines et préserverait des familles de nombre de traumatismes causés par les abus de pouvoir des intervenants incompétents de la DPJ qui sont appuyés aveuglément par la Chambre de la jeunesse.

L'union fait la force ! Continuons de nous unir pour l'amour des enfants afin de les protéger davantage et de leur donner le droit de s'épanouir selon leur réel potentiel entourés des gens qu'ils aiment, dont leurs parents et leurs grand-parents !


RAPPORT D'ÉVALUATION PSYCHOÉDUCATIVE (PDF)


Comme seule réponse à cet appel à l'aide aux instances politiques, cette missive provenant du bureau de Marie Malavoy :

Date: Fri, 1 Feb 2013 16:06:35 -0500
From: Ministre-MELS@mels.gouv.qc.ca
CC: ministre@justice.gouv.qc.ca
Subject: Rép. : Demande d'Intervention et de Commission d'enquête sur la DPJ pour voir à la réelle protection de nos enfants au Québec
To: chantalminopsed@live.ca

Québec, le 1er février 2013

Madame Chantal Mino
chantalminopsed@live.ca


Madame,

La présente est pour accuser réception du courriel que vous avez fait parvenir à la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, madame Marie Malavoy, le 13 janvier dernier.

Nous souhaitons vous informer que la situation que vous décrivez dans votre courriel relève du ministère de la Justice, à qui nous laissons le soin de traiter votre demande.

Nous vous prions d'agréer, Madame, l'expression de nos sentiments les meilleurs.


Maude Lambert-Bonin
Attachée politique
Cabinet de la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport
1035, rue de la Chevrotière, 16e étage
Québec (Québec)  G1R 5A5
Tél. : 418 644-0664
Ministre@mels.gouv.qc.ca
www.mels.gouv.qc.ca

Non pas que ce genre de réponse évasive soit très surprenante au vu d'expériences similaires préalablement tentées avec le gouvernement précédent, mais au moins Mme Lanbert-Bonin à pris la peine de mettre le Ministère de la Justice en copie-conforme à ce message, plutôt que de complètement le laisser "tomber dans la craque".  Cette réponse de la part de l'attachée politique de Mme Malavoy a suscité la réponse suivante de Mme Mino :

de:     Chantal Mino ps.éd. Un regard qui construit
à:     ministre-mels@mels.gouv.qc.ca, Pauline Marois , Véronique Hivon , Daniel Michelin , Bertrand St-Arnaud , Marie Malavoy , Maria Mourani , "ministre@justice.gouv.qc.ca" , Pierre-Hugues Boisvenu , Protecteur du citoyen , "CDPDJ Gaétan Cousineau, président" , "CDPDJ Me Jean Théoret, directeur" , "CDPDJ Me Louise Sirois, procureur" , Dr Réjean Hébert , Françoise David , "press-info@ohchr.org" , "niu@ohchr.org" , "gmagazzeni@ohchr.org" , "civilsociety@ohchr.org" , "dexrel@ohchr.org" , denise.beaudoin-mira@assnat.qc.ca, cabinet@sct.gouv.qc.ca, ministre@msp.gouv.qc.ca, ministre@tourisme.gouv.qc.ca, yfblanchet-drum@assnat.qc.ca, mbouille-iber@assnat.qc.ca, lbureau-blouin-ldr@assnat.qc.ca, scardin-sher@assnat.qc.ca, nchampagne-chmp@assnat.qc.ca, gchapadeau-rnt@assnat.qc.ca, jmclaveau-dubuc@assnat.qc.ca, acloutier-lsj@assnat.qc.ca, ccousineau-berr@assnat.qc.ca, cabinet@micc.gouv.qc.ca, bdrainville-mavi@assnat.qc.ca, marjolaindufour-rele@assnat.qc.ca, lferland-unga@assnat.qc.ca, dhamelin-mass@assnat.qc.ca, ministre@mtq.gouv.qc.ca, ministre@mapaq.gouv.qc.ca, dgoyer-demo@assnat.qc.ca, akhadir-merc@assnat.qc.ca, mkotto-bour@assnat.qc.ca, guy.leclair-beau@assnat.qc.ca, nleger-pat@assnat.qc.ca, ministre@mamrot.gouv.qc.ca, amaltais-tasc@assnat.qc.ca, nmarceau-rous@assnat.qc.ca, smckay-asso@assnat.qc.ca, ministre@mrnf.gouv.qc.ca, spage@assnat.qc.ca, epelletier-sahy@assnat.qc.ca, ipelletier-rimo@assnat.qc.ca, cpoirier-homa@assnat.qc.ca, sproulx-saro@assnat.qc.ca, jrichard-idlm@assnat.qc.ca, lorrainerichard-dupl@assnat.qc.ca, rricher-arge@assnat.qc.ca, sylvainroy-bona@assnat.qc.ca, sylvieroy-lotb@assnat.qc.ca, atherrien-sagu@assnat.qc.ca, mtraversy-terr@assnat.qc.ca, dtrottier-robe@assnat.qc.ca, ltrudel-sama@assnat.qc.ca, dave.turcotte-saje@assnat.qc.ca, avilleneuve-berh@assnat.qc.ca
cc:     ARDEPGPQ , GDEF Paula May , SAIV DPJ , "GDEF (SAIVDPJ Drummond) Nathalie Berthelot" , SOS Enfants Parents Grand-Parents International Olivier D'Hervé , alain.gravel@radio-canada.ca, temoin@radio-canada.ca, JE , claude.poirier@tva.ca, nouvelles@lapresse.ca, Le Devoir , jdm.transmission@quebecormedia.com
date:     2 février 2013 10:06
objet:     Demande d'Intervention et de Commission d'enquête sur la DPJ pour voir à la réelle protection de nos enfants au Québec

Madame Lambert-Bonin et à qui de droit à l'Assemblée nationale du Québec et au Québec,

Si le fait qu'un enfant de 8 ans soit en train de mourir au Québec face aux abus et à l'incompétence des intervenants de la DPJ qui refusent de le faire hospitaliser à l'hôpital Rivière-des-Prairies depuis 2008 tel que le requiert sa santé pour qu'il soit réévalué, que cet enfant de 8 ans ne soit plus du tout scolarisé, que cet enfant soit placé en famille d'accueil malgré que sa mère et sa grand-mère maternelle désirent en prendre soin avec amour et qu'il subisse de la contention chimique depuis 2009 pour étouffer sa souffrance due à la torture qu'il subit de la DPJ depuis 2008 ne concerne pas la Ministre de l'éducation du Québec, Madame Marie Malavoy, vous pouvez être assurés que je vais en faire part au public pour l'intérêt du public, dont aux auditeurs de Radio Centre-ville 102,5 FM lors des deux prochaines émissions de Mouvement Action Justice qui seront consacrées à la réelle Protection des enfants au Québec.

Je vous joins ici l'entrevue que Monsieur Hadj Zitouni a fait avec moi à la fin de l'émission d'hier, le 1 février 2013, car il y a des questions pour l'ensemble de nos élus à l'Assemblée nationale du Québec.

Il est vraiment désolant de voir tant d'indifférence et de laxisme de la part des instances au pouvoir, dont les médias traditionnels, plusieurs professionnels, la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, le Protecteur du citoyen et nos élus à l'Assemblée nationale du Québec qui fuient et gardent le silence  face à la destruction de vies d'enfants et de leur famille par la Direction de la protection de la jeunesse au Québec.

Si le fait que la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) au Québec envoie des enfants et des adultes clairement vers le désespoir, vers le suicide et/ou vers la mort en complicité avec des avocats de la DPJ, de certains avocats d'enfant et de parents ainsi que de certains juges de la Chambre de la jeunesse ne regarde pas la Ministre de l'éducation du Québec et  le gouvernement du Québec en son entier, est-ce que ce gouvernement représente vraiment le 100% du peuple québécois ou juste le 1% qui s'enrichit au dépends de celui-ci ? L'ensemble du gouvernement du Québec ne doit-il part agir en bon samaritain envers l'ensemble de la population qu'il représente, cf. articles 1471, 1474, etc. du  C.c.Q ? Ne pas porter assistance à  une personne dont la vie est en danger n'est-il pas considéré comme un acte criminel, cf. articles 25.1 à 25.4 du Code criminel ?  Le gouvernement du Québec et tous les citoyens (ne)s du Canada n'ont-t-il pas l'obligation de respecter la résolution 53/144 de l'Assemblée générale de l'ONU adoptée le 8 mars 1999 soit la Déclaration sur le droit et la responsabilité des individus, groupes et organes de la société de promouvoir et protéger les droits de l'homme et les libertés fondamentales universellement reconnus qui est ci-jointe ?

Je vous mets également un extrait de la page 485 dans Le droit au secours dans la province du Québec d'Alain Klotz ci-joint :
" De plus, par l'intermédiaire du Code criminel canadien, l'omission à une obligation imposée par une loi, tant fédérale que provinciale, peut entraîner, selon la nature de l'infraction, une négligence criminelle. "

Ainsi qu'un extrait d'un document  de 2003 du Centre de prévention du suicide et d'intervention de crise du Bas-St-Laurent intitulé Le contexte légal de la prévention du suicide au Québec :
" Toute personne doit porter secours à celui dont la vie est en péril, personnellement ou en  obtenant du secours, en lui apportant l'aide physique nécessaire et immédiate, à moins d'un risque pour elle ou pour les tiers ou d'un autre motif raisonnable. "

Faute d'agir avec courage par acquis de conscience et de valeurs humaines de base, allez-vous dénoncer les tortures de la DPJ qui détruisent tant de vies humaines au Québec pour les faire cesser et agir pour au moins ne pas être tenus criminellement responsable de négligence criminelle ?

Une Commission d'enquête sur la DPJ et le rôle du système judiciaire pour la réelle protection de nos enfants au Québec s'impose, est-ce que nos élus à l'Assemblée nationale du Québec, ceux qui font partie du système de justice et des médias du Québec comptent faire quelque chose ou vont-ils persister à négliger leurs responsabilités ?


Bien à vous,


Chantal Mino, psychoéducatrice pour l'Union des forces en vue d'une réelle protection des enfants du Québec
C.P. 261, Succ. 261 Montréal-Nord,
Montréal (Québec) H1H 5L2
(514) 247-0442


Et afin de mettre de la pression sur le gouvernement en vue d'obtenir une Commission d'enquête, une plainte formelle a été envoyée en juillet 2011 au Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants du Conseil des droits de l’homme au Bureau du Haut Commissaire aux Droits de l'Homme de l'O.N.U à Genève.


PLAINTE À L'ONU (PDF)


Afin de vous montrer le genre de manoeuvres douteuses teintées d'intimidation, de désinformation, de manipulation et d'arbitraire que Mme Mino n'hésite plus à associer à l'ensemble de la DPJ (réfutant ainsi les thèses de "cas isolés" et de "pommes pourries"), voici donc un échange de communication courriel entre la mère de l'enfant mentionné précédemment et l'intervenant du DPJ nommé par Mme Mino dans son entrevue radio, Stéphane Clavette :

From: chantalminopsed@live.ca
To: pauline.marois@assnat.qc.ca; vhivon-joli@assnat.qc.ca; daniel.michelin@msss.gouv.qc.ca; depute.chambly@justice.gouv.qc.ca; ministre@mels.gouv.qc.ca; mourama@parl.gc.ca; ministre@justice.gouv.qc.ca; boisvp@sen.parl.gc.ca; protecteur@protecteurducitoyen.qc.ca; presidence@cdpdj.qc.ca; jean.theoret@cdpdj.qc.ca; louise.sirois@cdpdj.qc.ca; ministre@msss.gouv.qc.ca; fdavid-goui@assnat.qc.ca; larbour@ohchr.org; press-info@ohchr.org; niu@ohchr.org; gmagazzeni@ohchr.org; civilsociety@ohchr.org; dexrel@ohchr.org
CC: jan@stohl.com; info@respectetdroitsdelafamille.com; saivdpj@hotmail.com; odherve@gmail.com; info@maj-quebec.com
Subject: Des enfants de la DPJ sont le relais des enfants de Duplessis -> FW: Visites de mon fils
Date: Thu, 24 Jan 2013 08:04:12 -0500

From: Mère d'un enfant que la DPJ laisse mourir psychologiquement
To: stephane.clavette@cjm-iu.qc.ca
CC: j-f.rousseau@rousseauspenard.com
Subject: Visites de mon fils
Date: Wed, 23 Jan 2013 12:57:04 -0500

Bonjour M. Clavette,
Je n’ai pas vu mon fils la semaine derniere, vous m’avez indiqué lors de notre entretien téléphonique de la semaine passée, que les visites se feront dorénavent a Decarie, que vous alliez m’appeler en début de semaine pour me fixer de nouvelles dates, je vous prie de bien vouloir me fixer l’heure et le jour de visite pour cette semaine.

Salutations




From: Mère d'un enfant que la DPJ laisse mourir psychologiquement
To: stephane.clavette@cjm-iu.qc.ca
CC: sylvainpal@hotmail.com; patricia_garel@ssss.gouv.qc.ca; fabrice.brunet.hsj@ssss.gouv.qc.ca; louise.sirois@cdpdj.qc.ca; chantalminopsed@live.ca; j-f.rousseau@rousseauspenard.com
Subject: FW: Visites de mon fils
Date: Wed, 23 Jan 2013 21:43:43 +0000

M. Clavette,

On vient de se parler au téléphone a l'instant, [vous] m'aviez dit avoir envoyé un calendrier de visites, je n'ai rien recu, j'attends que vous que vous transmettiez ce calendrier le plutot possible.

Aussi vous m'aviez indiqué que [mon fils] serait vu par Dr Palary le 6 mars 2013, alors que Dr Palardy est supposé ne plus exercer a Sainte Justine puisqu'il est rendu a l'Hopital Riviere des Prairies [où l'enfant devrait être hospitalisé], [mon fils] n'a plus été revu par aucun médecin depuis le 7 décembre 2012 (Dr Lemay devait le revoir 14 janvier 2013, mais ce dernier aurait été malade et n'avait pas revu [mon fils]), alors que vous avez indiqué devant la juge Matte le 27 nov 2012, que le Dr Lemay avait réduit le Risperdal et donné un deuxieme psychotrope, et aujourd'hui vous m'avez présenté une autre version des faits, le Risperdal a été augmenté a 1,75 mg avec un rajout d'un deuxieme psychotrope l'épival 500mg par jour.
Je demande que mon fils soit revu par un pédopsychiatre pour voir son évolution suite a cette nouvelle médication, selon moi, mon fils est completement gelé et il tourne en rond, alors qu'il parlait avant, et ne faisait jamais de crises, voir DVD en votre possession et examen de l'ADOS de Dr Lemay de 2008, déposés devant la Cour
En espérant, que [mon fils] puisse etre pris en charge sérieusement, avant qu'il ne soit trop tard, mon fils a deja perdu 4 ans [de] sa vie !!


Cordialement,


CC: Dr Palardy


Suite à quoi cette mère (et la grand-mère) à reçu les lettres suivantes, dont voici un court extrait tiré de l'une d'entre elles :

"Madame,

La présente fait suite à votre courriel du 23 janvier 2013 et de la conversation téléphonique que nous avons eu le même jour.  Madame X. force nous est de constater une fois de plus votre agitation et votre hostilité grandissantes, votre interprétation erronée de la réalité de votre fils, votre rigidité persistante, vos allégations menaçantes, votre tendance à enquêter (sic) et revendiquer (re-sic) et votre refus carégorique de vous impliquer dans une démarche d'aide par des rencontres de suivi sociale avec le soussigné. (...)"
PDF 5 LETTRES

Il faut savoir que ledit "soussigné" ne fait partie d'aucun ordre professionnel lui permettant de s'immiscer ainsi dans la vie de la mère avec "une démarche d'aide par des rencontres de suivi sociale (re-re-sic)", un fait que j'aborderai un peu plus loin.

Un autre exemple du type de comportement répréhensible de la part d'intervenants du DPJ, cette fois-ci par une autre intervenante de la DPJ que dans le cas précédent, concernant un autre cas dont s'occupe Mme Mino, à travers ce courriel :


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Subject: Suite: À quoi sert un ordre professionel ? FW: Considération envers la mère et consentement pour les services psychologiques de M. Stéphane Dubé est déjà dûment signé
Date: Tue, 22 Jan 2013 19:17:08 -0500

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Subject: Considération envers la mère et consentement pour les services psychologiques de M. Stéphane Dubé est déjà dûment signé
Date: Tue, 15 Jan 2013 21:26:09 -0500

Bonjour Mme Guillemette,

Suite à votre appel téléphonique inacceptable  auprès la mère dans le dossier 525-41-025904129 aujourd'hui, je me vois dans l'obligation de vous écrire.

N'étiez-vous pas au niveau de l'évaluation-orientation ? Est-ce normal que ce soit vous qui communiquiez encore agressivement avec la mère quand vos supérieures ont bien dit, dont Mme Chantal Carmichael, votre chef de service, le 18 décembre 2012, que cela relevait d'une autre personne qui devait remplacer Mme Guylaine Duchesne avec l'accord de votre procureur ?

La présente est donc pour vous demander de cesser immédiatement de manquer de respect à cette mère et de cesser de l'intimider et de la stresser avec des avis de 24h pour qu'elle vous écoute au doigt et à l'oeil sans aucune raison pour se faire, lui causant ainsi préjudice dans le seul but de vous défouler. Cette mère ne mérite aucunement le traitement injuste et irrespectueux que vous lui réservez ainsi que les mensonges négatifs que vous véhiculez sans arrêt à son égard. Tout être humain mérite de la considération et de votre part, en tant que travailleuse sociale, ceci devrait être un minimum requis. Soyez assurez que nous veillerons à protéger sa fille ainsi que les belles capacités parentales de sa mère afin que vous cessiez de répandre un effet de halo négatif et injustifié à son égard à la Chambre de la jeunesse de la Cour du Québec à Montréal et nous ne vous laisserons pas porter atteinte à sa dignité et à son intégrité comme bon vous semble, car cela risque de compromettre gravement le développement de sa fille.

Cela fait 4 ans que cette mère demande à ce que sa fille voit le psychologue M. Stéphane Dubé, elle ne compromet aucunement le développement de sa fille, contrairement aux mensonges que vous avez inventés pour le Tribunal et qui va totalement à l'encontre de votre code de déontologie et de la mission même de la DPJ. Ne commencez pas à tenter d'inverser les rôles et de faire croire que vous avez fait votre travail et que c'est elle qui ne veut pas que sa fille voit un psychologue face à votre présumé insistance depuis longtemps; vous exagérez votre immunité, votre pouvoir de mentir et de manipuler les faits ainsi que les informations auprès de l'honorable juge Lucille Beauchemin. Soyez assuré que cette mère peut compter sur moi, le GDEF, l'ARDEPGPQ, le SAIVDPJ et le MAJ pour la défendre face à aux abus et aux mensonges de certains intervenants de la DPJ, dont vous-même et Mme Guylaine Duchesne.

Vous n'aviez pas à modifier le consentement pour la demande de service en psychologie auprès de M. Stéphane Dubé tel que vous l'avez fait dans la deuxième version que vous avez largement modifiée. La mère a bel et bien signé ce consentement pour que sa fille soit suivi par M. Stéphane Dubé, psychologue. Elle n'est aucunement obligée de signer un chèque en blanc vous donnant tous les pouvoirs de son autorité parentale sous la menace que vous portiez atteinte à sa réputation en diffusant le Procès-Verbal que vous avez obtenu par des manipulations qui vont totalement à l'encontre de la mission fondamentale de la DPJ.

Je vous rappelle que selon l'article 11.2.1 de la LPJ, celui-ci ne vous autorise aucunement à communiquer quoique ce soit à M. Stéphane Dubé, car la mère ne veut pas, et encore moins à lui envoyer le Procès-Verbal de la juge Lucille Beauchemin afin de produire un effet de halo négatif et mensonger à l'égard de la mère. De plus, la DPJ  a menti au père et au Tribunal en faisant croire que j'avais contacté M. Dubé et l'avait négativement influencé à l'égard du père, profitant de mon absence pour se faire, je n'ai fait que vérifier son expertise et ses disponibilités et il s'est avéré que c'est le psychologue qui a le plus d'expertise en fonction des besoins de cette enfant. Vous projetez carrément ce que vous faites à l'égard de la mère, vu que vous avez pris clairement partie pour le père et alimentez ainsi le conflit de séparation au lieu de l'estomper, et ce, au prix du développement harmonieux de cette enfant. Si les parents n'ont pas le droit de communiquer avec le psychologue afin de ne pas nuire à sa relation thérapeutique avec cette enfant, vous avez encore moins le droit de le faire pour induire un effet de halo négatif et erroné sur la mère.

Retenez également que tel que sont les droits de la mère et tel que la CDPDJ l'a dit, je serai présente aux côtés de celle-ci pour toutes les rencontres qu'elle aura avec vous tel qu'elle le désire, et qu'elle a le droit de m'envoyer une copie conforme des correspondances qu'elle a avec le père de sa fille et/ou avec la DPJ.

Également, n'abusez pas trop de menacer cette bonne maman avec le jugement injuste du 19 décembre 2012 de la juge Lucille beauchemin que vous avez obtenu par les mensonges et les manipulations de l'information de la DPJ, car les préjudices que vous avez causé à cette mère et à ma réputation professionnelle sans aucune cause juste et suffisante afin de m'empêcher de lui venir en aide pour l'intérêt supérieur de sa fille n'en resteront pas là, l'intérêt de cette enfant primera par-dessus vos abus de pouvoir et votre refus de vous remettre en question.

Sur ce, la demande de référence pour que sa fille puisse rencontrer rapidement M. Stéphane Dubé, psychologue, est dûment signé par la mère, il ne reste plus qu'à M. Dubé à fixer un rendez-vous avec cette enfant, idéalement le vendredi lors des changements de garde. Il ne vous reste qu'à dûment faire votre travail sans nuire à autrui.

Apprenez donc à reconnaître vos erreurs et cessez de vous acharnez sur la mère pour dévier le débat de vos mauvaises interventions et votre laxisme. Améliorez-vous et sachez avoir du respect pour ces deux parents et ceux qui les aident et les entourent, au lieu de diviser pour mieux régner, et ce, en ayant à l'esprit que c'est pour l'intérêt supérieur de cette enfant qui vaut bien plus que du pouvoir, de l'orgueil mal placé ou la loi du moindre effort.

En espérant le tout conforme pour que cet enfant voit rapidement M. Dubé et que nous puissions enfin travailler en équipe avec la personne qui remplacera Mme Duchesne pour l'intérêt supérieur de cet enfant et de sa famille qui en prend soin, veuillez recevoir mes salutations distinguées.


Chantal Mino ps.éd.


Suite à quoi, Mme Mino à reçue la lettre suivante qui elle même en suivaient une autre datant de décembre 2012, toutes deux provenant de l'Ordre des Psychoéducateurs et Psychoéducatrices du Québec, visant à faire pression sur Mme Mino afin que celle-ci cesse d'alerter les autorités publiques concernant une situation qu'elle considère des plus graves, allant même jusqu'à lui retirer son droit de pratique, faisant d'elle une légitime "whistleblower".  Les parents avec qui elle est en relation d'aide, dont j'en ai rencontré quelques uns personnellement, n'ont que des éloges à faire son endroit à propos de la qualité de ses interventions auprès des enfants.

2 LETTRES DE GILLES BERGERON À CHANTAL MINO (PDF) (PDF)

La mère subit également des pressions afin de conserver le statut d'omerta dans son dossier, poussant même l'audace jusqu'à lui envoyer la lettre suivante sur son lieu de travail plutôt qu'à son domicile, ce qui constitue une forme d'intimidation considérant le préjudice fait à sa réputation relativement au regard que peuvent porter sur elle ses collègues de travail relativement à cette lettre.

LETTRE DE GILLES BERGERON À LA MÈRE


Ce qui a amené Mme Mino à tenter de ramener son ordre professionnel à l'ordre, c'est le cas de le dire, avec la communication suivante, dont j'aimerais tout d'abord en souligner un passage qui mérite je crois toute notre attention.  Comme je l'ai mentionné brièvement plus haut, les intervenants de la DPJ ne font partie d'aucun ordre professionnel supervisant leur profession, et pourtant ceux-ci s'octroient le droit de poser des gestes qui sont pourtant limités par la loi à être posés par des personnes faisant partie en bonne et due forme d'un ordre professionnel (médecins, psychologues, psychoéducateurs, etc.), allant même parfois (voire souvent) à l'encontre de l'avis de professionnels qualifiés dûment reconnus dans des domaines dont ils ne disposent pas de compétences suffisantes.  Mme Mino fait référence à une Loi 21 qui viendrait forcer l'obligation d'appartenir à un ordre professionnel pour avoir le droit de poser certains gestes précis en intervention de la jeunesse, mais les intervenants de la DPJ eux disposeraient maintenant d'une sorte de droit acquis malgré les nouvelles dispositions de la loi, rendant donc cette loi complètement inopérante pour les prochains 30 à 40 ans au moins, le temps que les intervenants actuels ne soient tous à la retraite.  Aussi bien dire qu'il n'y a pas de loi!


From: chantalminopsed@live.ca
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CC: vhivon-joli@assnat.qc.ca; daniel.michelin@msss.gouv.qc.ca; jan@stohl.com; info@respectetdroitsdelafamille.com; saivdpj@hotmail.com; odherve@gmail.com; presidence@cdpdj.qc.ca; maria.mourani@parl.gc.ca; ministre@mels.gouv.qc.ca; pauline.marois@assnat.qc.ca; ministre@justice.gouv.qc.ca; info@maj-quebec.com; boisvp@sen.parl.gc.ca
Subject: Quel est le rôle d'un Ordre professionnel ?
Date: Thu, 17 Jan 2013 09:57:54 -0500

M. Gilles Bergeron  et à qui de droit au C.A. de l'OPPQ,

J'ai bien eu votre message d'hier après-midi mentionnant que les Centres jeunesse de Montréal aurait déposé une plainte contre moi à mon ordre, l'Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec, pourtant, je ne travaille aucunement pour eux et ils n'ont en aucun temps été témoin de mes interventions auprès de ma clientèle. ???

Sachez que depuis l'an passé, j'ai découvert de grave situation qui se produisent à la Chambre de la jeunesse à cause de la DPJ et que présentement, je suis à défendre plusieurs parents au Tribunal de la Chambre de la jeunesse pour leur enfant dont le développement est gravement compromis par certains intervenants de la DPJ ne faisant partie d'aucun ordre professionnel qui abusent du pouvoir que leur octroie la loi et que je subis d'énorme pression, menaces et intimidation de toutes sortes de la part de la DPJ pour que je cesse de venir en aide aux parents pour voir à la réelle protection de leur enfant et s'assure de leur intérêt supérieur. Je vous par invite par ailleurs à écouter l'entrevue de Mme Louise Deschâtelets avec Mme Andrée Ruffo qui vous éclairera davantage sur ce qui se passe à la Chambre de la jeunesse et que je peux confirmer :
http://fr.video.canoe.tv/video/matv/matv-grandes-entrevues/2044675846001/rencontre-avec-la-juge-andree-ruffo/2045911629001

Sachez que je dois rencontrer certaines personnes ayant le pouvoir de faire bouger les choses afin que nous puissions voir ensemble comment nous pouvons intervenir pour que cesse la destruction de vies d'enfants par certains intervenants de la DPJ ne faisant partie d'aucun Ordre professionnel qui ont obtenu un droit acquis pour les activités réservés, ce qui revient à dire que la Loi 21 ne sera réellement applicable que dans 30 ou 40 ans quand tous les intervenants en santé mentale seront à la retraite. Cette état de fait est inacceptable pour la protection du public vulnérable. Normalement l'OPPQ devrait faire quelque chose pour que cette loi ne soit pas qu'apparence et comédie, mais appliquée dans le concret pour s'assurer de la réelle protection du public au lieu de s'acharner sur moi qui mène une bataille contre Goliath juste pour faire mon travail professionnel de psychoéducatrice; Goliath étant la DPJ, certains avocats des enfants et certains juges de la Chambre de la jeunesse qui sont clairement partiaux envers la DPJ qui compromet pourtant gravement le développement de plusieurs enfants, passant ainsi en priorité et au pris de petites vies humaines, la protection de leurs erreurs et de leur ego avant la protection des enfants.

De plus, sachez qu'il sera désolant pour moi de dire publiquement que mon ordre professionnel protège davantage des intervenants incompétents et abusifs envers une clientèle vulnérable au lieu de s'assurer de la réelle protection du public et s'acharne plutôt à harceler et à ignorer ou à dénigrer des professionnels intègres, honnêtes, compétents et professionnels qui font primer leur clientèle avant tout, tel que leur code de déontologie le mentionne pourtant. Sachez que vous avez entaché la réputation de l'OPPQ par le fait que vous avez intimidé une maman vulnérable à laquelle je viens en aide face aux abus et aux mensonges de la DPJ envers elle et sa fille et avez porté atteinte à sa réputation professionnelle à son travail par l'envoi de cette lettre certifiée à son travail, ci-jointe, car la DPJ a pris partie pour le père que je ne connais pas et pour lequel vous avez pris une plainte frivole à l'OPPQ à mon égard afin de m'empêcher d'aider cette maman tel que ce père le désire voulant l'isoler à tout prix afin de lui enlever la garde de sa fille. Retenez que c'est Mme Andrée Ruffo qui l'a envoyé vers mes services privés de psychoéducation.

Depuis le 17 juin 2011, vous n'avez de cesse de prendre les plaintes de tiers qui ont des comportements inacceptables envers la clientèle vulnérable, tels que les enfants, et qui sont non concernés et non témoins de mes interventions auprès de la clientèle, mis à part que je réussis à aider là où il y a eu laxisme, et/ou abus et/ou ils ont tenté de nuire à mes interventions  afin de cacher leurs incompétences, et vous prenez un malin plaisir volontaire à me harceler et à porter atteinte à ma réputation professionnelle autant qu'il est en votre pouvoir de le faire. Pourquoi ? Votre rôle n'est-il pas d'encourager les psychoéducateurs à s'affirmer pour la protection du public au lieu de les intimider pour protéger des situations inacceptables qui compromettent gravement le développement de certains enfants?

J'ai de la difficulté à comprendre votre façon de faire.  Je vois mal une personne aller porter plainte à la police afin de porter plainte au nom d'une autre personne qui aurait subi un acte criminel dont elle n'a même pas été témoin. Pourquoi acceptez-vous constamment des plaintes de tiers non concernés directement par mes interventions et non présents lors de celle-ci telle que Mme Josée Dumouchel à la CSPI et où il y a des recours judiciaires pour faire cesser ses comportements inacceptables et que vous ne tenez pas du tout compte du témoignage positif de la clientèle auprès de laquelle j'interviens ainsi que du témoignage de plusieurs collègues et professionnels avec qui j'ai travaillé ou avec je travaille en collaboration pour la protection des enfants dont : Mme Annie Roy, psychoéducatrice à la CSPI, Mme Catherine Lamy, psychoéducatrice à la CSPI, Mme Rina Petretta, psychoéducatrice à la CSPI et inspectrice à l'OPPQ,  plusieurs avocats, M. Gilles Boivin, conseiller d'orientation et président de SAIVDPJ, Dr André Masse, pédopsychiatre à HRDP, Mme Manon Lefebvre, travailleuse sociale en CLSC, le GDEF, l'ARDEPGPQ, le SAIVDPJ, Mme Andrée Ruffo, etc.

Je joins ici les Règles d’éthique et de fonctionnement applicables au syndic, au président et aux administrateurs de l'Ordre des optométristes du Québec qui s'applique tout autant à l'OPPQ en espérant que Mme Diane Blain-Lamoureux, présidente de l'OPPQ, quoiqu'ayant travaillé pour le Centre jeunesse qui a émis 350 plaintes contre la juge Andrée Ruffo, consultera le C.A. de l'OPPQ afin de s'assurer que M. Robert Turbide, syndic de l'OPPQ travaillant à la CSPI, et M. Gilles Bergeron, syndic adjoint de l'OPPQ et ancien directeur du même Centre Jeunesse où a travaillé Mme Blain-Lamoureux, remplissent dûment leur rôle de syndic à l'OPPQ pour la protection du public et cessent définitivement de me nuire de façon intentionnelle afin de protéger les comportements inacceptables de personnes qui abusent de la vulnérabilité de la clientèle et de certaines personnes dans notre société au lieu de m'aider à protéger celles-ci, ce qui va totalement à l'encontre de leur mandat premier et du rôle de l'OPPQ.

Il est inacceptable que M. Robert Turbide et M. Gilles Bergeron entrave constamment mon travail de psychoéducatrice depuis le 17 juin 2011 afin de protéger ceux qui nuisent à un public vulnérable et qui tentent de me discréditer pour arriver à leur fin.

En espérant que le C.A. de l'OPPQ remplissent dûment son rôle et veille enfin à s'assurer que les syndics qu'il engage protège réellement le public et non ceux qui abusent du public vulnérable et que le tout soit clair et conforme, je demeure disponible pour répondre aux questions de M. Gilles Bergeron ou les vôtres et vous envoie mes salutations distinguées.

C'est là qu'on en est rendu au Québec en 2013 quand on a à coeur la santé et le bien-être des enfants sous la garde bien souvent arbitraire de la DPJ, condamné à faire fi des menaces et de l'intimidation afin que la vérité puisse continuer à se faire entendre tout en continuant d'être témoin des pires injustices commises par ceux-là même qui ont la charge de faire respecter cette justice.  À l'exposé de ces faits et de plusieurs autres dont je ferai grâce ici, lors d'une rencontre visant au regroupement des forces luttant contre les sévices de la DPJ, un intervenant qui était présent, lui-même Orphelin de Duplessis, n'a pu s'empêcher à un moment donné de s'exclamer sur un fond de révolte : "C'est pire que dans mon temps!  C'est pire que dans le temps des Orphelins de Duplessis!".

Une autre rencontre visant à favoriser le regroupement des forces luttant contre les sévices de la DPJ est prévue à Montréal pour mars prochain, il est possible de contacter Mme Mino par courriel si vous désirez y participer.

Comme vous avez pu le constater, toutes les informations présentées ici (et davantage) ont été communiquées aux principaux ministères et organismes concernés, incluant le bureau de la Première Ministre Pauline Marois, ainsi qu'aux principaux médias.  Outre les plaintes de son ordre professionnel l'OPPQ visant à ce qu'elle cesse de tenter d'alerter l'opinion publique, le silence qu'elle a reçu en réponse à tous ces messages est assourdissant.  Je tiens à rappeler que des démarches similaires avaient été effectuées par le couple Godmé-Nadeau relaté dans mes articles précédents sur la DPJ, et que la cheffe du PQ, alors dans l'opposition, en était à évaluer "comment utiliser ça politiquement".

Maintenant qu'elle est au pouvoir, j'ose espérer qu'elle portera une attention prioritaire sur ce dossier dans les plus brefs délais, surtout en tenant compte du fait que Mme Marois est travailleuse sociale de formation et est une ancienne directrice des services enfants-jeunesse dans un centre de services sociaux.  C'est donc un dossier dont elle devrait maitriser les tenants et aboutissants, et dont elle ne requiert pas de pouvoirs supplémentaires d'Ottawa afin d'agir dans le dossier, et dont elle n'a même pas besoin d'être majoritaire pour aller de l'avant car honnêtement quel parti politique voudrait se positionner ouvertement contre une ou des mesures visant à assurer et améliorer la protection des enfants québécois?  J'ose espérer, dis-je, même si je ne suis pas naïf quant à la réelle volonté du gouvernement de vouloir faire le ménage dans le nid de guèpe des services de protection de la jeunesse, et particulièrement la DPJ.  C'est une vague sur laquelle Pauline Marois ne veut pas surfer, de peur de s'y noyer, possiblement avec raison d'ailleurs.  Cependant, si nous avons collectivement pu arracher la Commission Charbonneau des mains de Jean Charest avant que celui-ci ne soit battu l'automne dernier, j'ose donc en effet croire qu'il est possible d'obtenir une Commission d'enquête sur les services de protection de la jeunesse de la part du gouvernement Marois.  C'est non seulement sa responsabilité, c'est son devoir.  Il ne serait pas surprenant d'apprendre à la lumière d'une éventuelle Commission d'enquête sur la DPJ que celle-ci ne soit devenue un repaire de pédophiles, de pornographes infantiles, de proxénètes juvéniles et autres déviants sadiques du même genre.  Si cela vous semble être trop gros pour être possible, n'oubliez pas qu'il y a quelques années la haute-direction d'Hydro-Québec était littéralement infiltrée par une secte ésotérique du nom de l'Ordre du Temple Solaire, autre situation semblant au préalable farfelue et peu crédible mais qui pourtant correspondait à la réalité.  Espérons donc que Pauline Marois prenne ce problème au sérieux et démontre une attitude moins désinvolte et plus pragmatique concernant ce dossier que lors de cet entrevue donnée à l'émission "Femmes d'aujourd'hui" sur les ondes de Radio-Canada en 1977.



Adam Richard

P.S. : J'aimerais joindre à ce texte ce dernier commentaire de Mme Mino elle-même qu'elle m'a envoyé durant la préparation de cet article :

J'aimerais beaucoup que tu rajoutes à ton article la bataille qu'a mené Me René Binet, comme avocat d'enfant au Tribunal de la jeunesse pendant quasiment 20 ans et qui a fini par le mener au suicide le 7 mars 2011. Cet automne 2012, j'ai appris avec grande tristesse cette nouvelle par M. Jan Stohl, porte-parole du Groupe Droits de l'Enfant et de la Famille, car je l'avais côtoyé en 2000 pour lui demander de l'aide pour un adolescent de 13 ans que l'hôpital Ste-Justine menait au suicide par son refus obstiné de reconnaître ses graves erreurs médicales et il m'avait bien aidé, c'est d'ailleurs le seul qui n'a pas eu peur de m'aider. Il est dans le documentaire Les voleurs d'enfance de Paul Arcand. En juin 2004, il avait écrit un article sur le suicide de Ian, un adolescent qu'il défendait comme avocat. Son article décrit bien le système dans lequel sont pris et détruits nombre d'enfants au Québec. Aujourd'hui, en cette semaine de la prévention du suicide, je lirai son article à la radio en hommage à son travail et je mentionnerai comment ce système de la DPJ et des Tribunaux de la jeunesse mènent non seulement des enfants et des parents au suicide, mais aussi des intervenants qui ont beaucoup d'empathie et qui veulent préserver leur âme en demeurant honnêtes, intègres et congruents avec leur valeurs de base, car ils se retrouvent ostracisés, harcelés et dénigrés par le pouvoir du système public et juridique mis en place au Québec s'ils n'en deviennent pas les complices, situation de double contrainte intolérable à vivre pour plusieurs dont certains choisissent malheureusement le suicide en pensant qu'ils sont seuls avec ses valeurs humaines, par complicité obligée et maintenant dénoncée aux yeux de tous (comme Léon Lafleur, le directeur du CHSLD de St-Charles-Borromée http://www.ledevoir.com/societe/ethique-et-religion/41842/saint-charles-borromee-faut-il-blamer-les-medias-pour-la-mort-de-leon-lafleur), par épuisement et pour préserver leur âme. C'est inacceptable pour une société qui se dit évoluée, il faut se regrouper et montrer que nous sommes plusieurs à avoir de l'Amour envers son prochain et que ce n'est pas un problème d'hypersensibilité ou de santé mentale que d'avoir de l'Humanité ! J'ai parlé à son frère seulement hier soir, j'attendais d'avoir confirmation de son suicide par sa famille avant d'en parler ainsi que d'avoir l'autorisation d'un de ses membres et maintenant je l'ai. J'ai eu le nom de son meilleur ami à Montréal, je vais entrer en contact avec lui pour en savoir davantage. Son frère m'a dit que Me Binet s'était fait offrir un poste de juge à la Chambre de la jeunesse en échange de son silence (car il dénonçait beaucoup le système) et qu'il a refusé; il m'a dit qu'on pouvait en faire mention. Je te joins également un fichier Word où tu as divers liens sur tous les articles qu'il a écrit ou qui ont été écrits sur lui ainsi que l'annonce de son décès. Imagine! Si ce système québécois pousse au suicide nombre de personnes créatives, honnêtes, intègres et humaines, quel genre de personnes nous reste-t-il au pouvoir pour défendre nos enfants au Québec et aider les plus vulnérables de notre société ... Quand c'est rendu que l'Amour de son prochain, l'intégrité et l'honnêteté est décrit comme un problème de santé mentale qui mérite une évaluation par trois psychiatres, où s'en va-t-on ? Avant, on enfermait dans des cachots les dissidents, ils se faisaient manger par les lions, après, on les internait en psychiatrie, aujourd'hui, on leur impose des évaluations par des professionnels de l'étiquetage pour s'assurer de les humilier au maximum dans leur intégrité et leur dignité et de les faire craquer pour donner raison à leur étiquetage et dans le pire des cas, on impose trois évaluations psychiatriques, car ... l'Amour de son prochain ... c'est dangereux pour le public selon certaines instances au pouvoir au Québec... Notre système québécois est bien organisé pour produire de vrai larbins, va voir le vidéo sur YouTube la description du syndrome du larbin (un peu d'humour fait toujours du bien), je crois que cela résume bien la destruction de vies humaines à laquelle nous assistons ainsi que le silence et le laxisme de notre société québécoise d'aujourd'hui :


Information et partage :


Organisme d'aide et d'information :
SAIVDPJ ( Société d'aide et d'information aux victimes de la D.P.J)   http://www.saivdpj.info/historique.htm
                                                                     avec groupe d'entraide : http://www.saivdpj.info/drummond/
ARDEPGPQ (L’Association pour le Respect des Droits des Enfants, des Parents et des Grands-Parents du Québec) http://respectetdroitsdelafamille.com/objectifs.htm
Association internationale des droits de l'enfant et de sa famille (site à venir)
Groupe Droits de l'enfant et de la famille qui regroupe l'ARDEPGPQ, SAIVDPJ, des parents et divers professionnels au Québec

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ADDENDUM
26 Mars 2013

Voici une copie du Mémoire que Mme Chantal Mino tente depuis plusieurs jours (depuis le 14 mars dernier) d'envoyer à la Commission sur les Institutions à l'Assemblée Nationale, concernant des modifications à la Loi 17 sur les ordres professionnels.  Le dépôt de ce mémoire constitue une saga en soi qui sera la sujet d'un article prochain, allant même jusqu'à de l'intimidation de la part d'un agent de la SQ menaçant Mme Mino d'expulsion et de bannissement à vie de l'Assemblée Nationale pour aucune raison apparente, preuves audio à l'appui.  Ce Mémoire est donc ainsi mis en ligne afin d'assister l'équipe informatique de l'Assemblée Nationale, qui semble être incapable d'ouvrir une pièce-jointe pdf compressée sous format zip, entre autres difficultés techniques.  Tout ce qu'il faut faire pour accéder au document, c'est de cliquer sur le lien suivant : 2013-03-18_Mémoire_de_ChantalMino_pour_Projet_de_loi_17_Code_des_professions.pdf

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ADDENDUM 2
25 juin 2013

Voici l'audio de la tentative d'intimidation vécue par Mme Mino à l'Assemblée Nationale par l'agent Éric Bédard alors que celle-ci y allait pour y déposer son Mémoire qui est affiché juste ci-haut.

Audio original (mp3) (4m. 30s.)
Extrait isolé de la menace d'expulsion et de bannissement de l'Assemblée Nationale (.mp3) (25 s.)
 

10 commentaires:

  1. Ouff, j'ai lu au complet, quelle horreur.
    La vie humaine ne vaut plus grand chose, en ce pays qui ne peut naître.
    Ce pays qui se méfie de ses dirigeants,
    qui s'en méfie, et a tellement de raisons de s'en méfier.
    C'est une honte.
    C'est sur, je partage sur face bouque et je publie sur mon blogue.

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  2. Voici le lien vers l'émission du Mouvement Action Justice du 8 février 2013 sur les ondes de Radio Centre-Ville : http://kebek2point0.org/documents/MAJ_8fevrier2013.wpl

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  3. Voici un extrait d'un article paru dans Le Soleil du 8 février dernier, et qui tend à corroborer les graves problèmes au sein de la DPJ actuellement. L'article complet peut être trouvé à http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201302/08/01-4619750-sept-ans-de-penitencier-pour-le-pedophile-herman-cassista.php

    "Publié le 08 février 2013 à 10h53 | Mis à jour le 08 février 2013 à 21h19

    Sept ans de pénitencier pour le pédophile Herman Cassista

    Dominique Hardy
    Le Soleil

    (Québec) Le juge Carol St-Cyr a dénoncé l'archevêché de Québec et le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) pour avoir fermé les yeux sur les gestes à caractère sexuel qu'a faits l'ex-diacre Herman Cassista à l'endroit de neuf jeunes hommes, qui lui avaient été confiés, entre les années 1972 et 1991. Pour ces crimes, le magistrat a condamné l'accusé à sept ans de pénitencier.

    «Le tribunal trouve particulièrement odieux le fait que l'accusé qui jouissait d'une totale confiance des parents et des autorités chargées de la protection de la jeunesse ait pu, durant toutes ces années, abuser sexuellement de jeunes hommes vulnérables. Et ce, malgré les dénonciations à l'archevêché de Québec et au Directeur de la protection de la jeunesse», a souligné le juge en rendant sa sentence.

    (...)"

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  4. J'ai fait page facebook qui décris mon cas révoltant d'enlèvement d'enfants............ `Retrouvons les petits enfants de Réjeanne

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  5. Après 20 ans de tentatives de dénonciation d'un réseau pédophile, je me dois de constater que ce réseau est très bien enraciné, (donc protégé) chez TOUS LES INTERVENANTS sociaux à qui je me suis confié et à qui je m'adresse encore aujourd'hui. Si vous arrivez à imaginer ce que pourrait être un tel réseau qui s'installe depuis des décennies, de père en fils et de mère en fille, à l'intérieur de nos institutions, vous arriverez à comprendre le pourquoi de toutes ces irrégularités qui se produisent partout. Ce n'est pas facile à imaginer mais, c'est exactement ce qui se passe aujourd'hui avec nos enfants. Voici un bref aperçu de mes démarches au cours de ces 20 dernières années.

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=rQvP-s8iG8U

    ainsi que : Ghislaine Lanctôt, médecin qui dit : " ...Personne ne monte dans l'échelle sociale, à un certain niveau, sans être pédophile."

    http://www.dailymotion.com/video/xv5m6x_ghis-je-ne-consens-pas-a-garder-le-silence_news?start=4#.USaDMzftmSo

    Yvon Sylva Aubé

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    1. Malheureusement, je suis parfaitement en mesure d'imaginer l'ampleur d'un tel réseau, et des conséquences que ce réseau peut avoir sur la société sur le long terme. C'est d'ailleurs ma motivation première derrière mes dénonciations alors que je ne suis nullement concerné sur un plan personnel et que ce sujet n'est pas directement lié au projet de Démocratie 2.0, quoiqu'il l'est indirectement, car à quoi bon travailler à élaborer un projet de société si on se sacre du fait que l'avenir de cette société est présentement sabotée par la machine d'état actuelle.

      Merci pour le commentaire.

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    2. (Publié pour Mme Chantal Mino, qui m'a dit éprouver des problèmes pour publier son commentaire)

      M. Sylva Aubé,

      J'ai eu votre message et je vous retournerai votre appel dès lundi.

      Je me permets aussi de répondre à votre commentaire en vous mentionnant que quoique votre premier vidéo en référence soit très touchant et significatif pour notre cause pour l'Union des forces afin de voir à la réelle protection de nos enfants au Québec, votre référence à Mme Ghislaine Lanctôt, médecin radiée du Collège des médecins au Québec avec raisons légitimes, en discrédite tout d'un coup l'ensemble. Le discours de celle-ci est nettement exagéré, erroné et engendre paranoïa et irresponsabilité eut égard à notre propre santé et celle de la population. Provenant moi-même de la science pure, dont en microbiologie à l'université avant de bifurquer avec bonheur vers la psychoéducation que j’ai découvert à Montréal et qui se doit de rallier la science du développement de la personne avec des méthodes scientifiques objectives et mesurables, je considère l'apport de la science, de la médecine et des vaccins d'une valeur inestimable pour la santé de notre humanité contrairement à Mme Lanctôt.

      Juste à penser que les vaccins ont permis d'éliminer la variole de la terre, de nous empêcher de mourir du tétanos, etc. (il faut faire la différence entre les vaccins et les additifs nuisibles pour notre santé qui y sont introduits pour économiser de l'argent lors l'entreposage et du transport pour tous ceux qui vendent et ceux qui achètent ces vaccins, et ce, au risque de la santé des personnes, dont plusieurs enfants, qui acceptent ces vaccins avec additif, dont le Thiomersal qui cause des retards de développement et bien d'autres effets secondaires), que la médecine et la recherche permettent à nombre de personnes de demeurer en santé, de recouvrer la santé et de vivre beaucoup plus longtemps qu'auparavant et pour terminer, que la science nous a permis d'identifier l'ensemble de l’ADN humain et les maladies pouvant y être reliés qui se découvrent de plus en plus, et ce, depuis 20 ans seulement. En 1986, lorsque j'étais en microbiologie, les scientifiques cherchaient encore à identifier l’ADN humain et n'avait réussi qu'à identifier celui de la mouche.

      Il faut savoir viser le message trompeur (effet de halo négatif destructeur) et non tuer le messager qui cherche à nous éclairer. La science et la médecine sont des apports primordiaux pour notre société. Encourager les gens dans un délire de complot général de notre société et à ne pas se faire soigner par les médecins relève d'irresponsabilité civile et ne devrait certes pas être encouragé et promu en aucun temps.

      Suite ...

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    3. ... Suite

      Il faut savoir s'objectiver et nuancer les situations et les propos, i.e. relativiser ... en prendre et en laissé en prenant le temps de bien s’informer.

      Je crois sincèrement qu'une majorité de personnes veulent bien faire dans la fonction publique, mais qu'ils ne peuvent pas, car ils ne se sentent pas assez forts pour faire face aux menaces et aux représailles de la part d’un très petit groupe de gens qui se sont bien placés à des postes de pouvoir dans notre système public ainsi que dans nos grands médias qui usent de propagandes de désinformation et de propagandes haineuses à volonté pour quiconque contrecarre leur profit en $$$$$$$. Le projet de loi 199 déposé hier, le 22 février 2013, par M. Jacques Duchesneau, saura certainement améliorer notre société québécoise, j'en demeure convaincue ... s'il est adopté et n'est pas détourné pas d'autres lois, telle que le projet de Loi 17 qui va permettre à plusieurs syndics d'ordres professionnels de continuer d'abuser encore plus de leur pouvoir et de leur immunité pour maintenir cette Loi du silence dans notre société. Agissons concrètement et demeurons nuancés dans nos actions et notre discours pour préserver notre crédibilité ! On continue !

      On lâche rien !
      http://www.youtube.com/watch?v=9CgD442YFRQ

      Au plaisir de vous connaître !

      Chantal Mino ps.éd.

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  6. moi aussi je vie un enfer avec la dpj briseur de familles et surtout enfance moi aussi je ne sais plus ou demander de laide je suis une grand maman tres peiné

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  7. À qui de droit au Comité des droits de l'Homme,

    Ce courriel s'adresse au Comité des droits de l'Homme du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme et constitue une plainte officielle, individuelle ci-jointe, et collective avec plus de 1560 personnes tel que vous pouvez le constater sur le lien https://www.facebook.com/groups/118779718303623/?fref=ts, sur le lien http://moisemarcouxchabot.com/2013/04/06/autour-dune-souriciere-manif-du-5-avril-2013/ et plus encore, pour non respect de plusieurs articles du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) par différents intervenants employés de nos instances gouvernementales et municipales du Québec ainsi que de leurs créatures tel que des ministères, la police, les ordres professionnels, les tribunaux, etc., étant donné que la Canada a ratifié le Protocole facultatif concernant le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PFPIDCP) et qu'il est en vigueur depuis le 19 août 1976.

    En attente de votre réponse et de votre intervention urgente pour voir au respect de tous les articles contenus dans le PIDCP dans la province du Québec en son entier auprès de tous les citoyens québécois autant bien nantis que moins nantis, je vous remercie de votre travail et de votre attention et vous envoie mes salutations distinguées.


    7 Mai 2013 - Plainte au Commissaire des Droits de l'Homme à l'ONU (PDF)

    Chantal Mino ps.éd.

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