lundi 4 novembre 2013

Tintin et la DPJ à l'ère du numérique

Tintin et la DPJ à l'ère du numérique

ou Les dessous cachés du trafic d'enfants entériné par l'État Québécois


Vidéo : Résumé introductif


Préambule : Le 1% écrémé de la très haute société


Il est parfois des sujets si complexes, des démonstrations si compliquées, que l'on ne sait parfois trop par où commencer.  Surtout si l'on tente justement d'en simplifier la complexité avec des raccourcis trop alambiqués dans le seul souci de se faciliter la tâche, et celle du lecteur par la même occasion.  Or, il existe certains sujets pour lesquels l'on ne peut tout simplement pas se permettre de tels raccourcis par simple souci de justice et de bien commun, sous peine d'être coupable du syndrome de l'autruche (la tête dans le sable).  Il est parfois également des événements qui nous dépassent et dont il faut tout simplement prendre la peine d'en réaliser l'ampleur et d'y surfer sur la vague avec confiance, se concentrant surtout sur la vague et non sur l'ultime destination que représente la plage ou un potentiel récif, une énième métaphore sur la différence entre le trajet et la destination, au fond...  Et finalement, il y a parfois de ces éléments de réponse qui, sans être nécessairement une preuve en soi de quoique ce soit, demeure tout de même pour l'individu averti non seulement un clair indice d'un très sérieux problème de société aux sombres ramifications malheureusement insoupçonnées par le commun des mortels, mais qui fournit également une piste d'explication plausible qui permet d'expliquer d'une manière plus globale ce qui peut apparaître à première vue comme étant un phénomène "local" (c'est-à-dire propre au Québec), et dans un deuxième temps seulement comme étant un phénomène qui est également présent dans de nombreux autres pays dits "civilisés".

L'histoire, l'aventure digne d'un scénario à la Hergé, qui est rapportée ici est un peu tout ça à la fois.  Les faits qui seront présentés dans les sections qui suivent sont autant de pièces d'un immense casse-tête dont l'image ne commence à apparaître que lorsque l'on commence à assembler les morceaux, mais, tel un fractal, cette image tirée de la réalité proprement québécoise n'est pourtant qu'un fragment, qu'une n-ième pièce d'un casse-tête encore plus grand, celui-ci aux proportions cette-fois internationales.  Un tel prisme de vision englobant la dimension internationale devient nécessaire lorsque l'on constate de troublantes similitudes entre ce qui se passe ici au Québec dans le dossier de la protection de la jeunesse et de ce qui se passe également en France (comme ce qui est rapporté entre autre dans le vidéo que j'ai présenté en Résumé introductif), en Grande-Bretagne, aux États-Unis, en Australie, au Canada-anglais (surtout si l'on tient compte des préjudices causés par les pensionnats indiens), etc.  Un tel phénomène, aussi largement répandu et gangréné au sein de l'appareil public de ces États-nations distincts entre eux politiquement et géographiquement, ne peut pas être le fruit que de cas isolés; ceci impliquerait que nos sociétés modernes ont toutes en leur sein une sorte de tare génétique sociale qui mènerait invariablement aux situations d'abus généralisés et systématiques des droits de l'enfant de la part même des services de protection de la jeunesse.  Ce serait là faire une très grave erreur d'appréciation du problème, ce serait nier qu'il existe une dimension supérieure au problème qui outrepasse les lignes imaginaires que représentent les frontières, ce serait nier l'existence d'un fil conducteur qui permettrait finalement d'apporter une explication plausible non seulement en ce qui à trait à l'ampleur généralisée des abus dénoncés par nombre de parents et d'enfants à travers le Québec et la planète toute entière, mais également toute la panoplie de représailles (provenant directement des diverses composantes de la machine d'État ou même de l'extérieur de l'appareil d'État officiel) visant directement ceux qui dénoncent trop fortement et trop efficacement ce qui ne peut être considéré autrement que comme un réseau de trafiquants d'enfants pratiquant kidnapping, intimidation, extorsion, dénigrement, déni de justice, refus d'assistance à personnes en danger, exposition inutile de personnes vulnérables à des environnements à haut-risque pour l'enfant tant pour sa sécurité psychologique, physique que sexuelle, servant ainsi de lieu de formation de la "main d'oeuvre" pour des réseaux pédophiles et de prostitution juvénile (qui se poursuivra bien souvent une fois à l'age adulte), et tout ceci sous le sceau officiel des "institutions de justice" de l'État.

Sauf que de suspecter l'implication de certains réseaux d'influence internationale dans ce trafic d'enfants est une chose, être capable de commencer à proposer des noms comme étant des têtes potentiellement dirigeante d'un tel réseau esclavagiste en est une autre, et être capable d'apporter des éléments de preuve permettant à tout le moins de poser que la théorie puisse être plausible sans toutefois nécessairement constituer une preuve hors de tout doute raisonnable en soi en est encore une autre.  C'est le plus loin que je me permettrai d'aller sur le sujet des ramifications internationales au sein de ce texte, sachant fort bien que la démonstration hors de tout doute raisonnable d'un tel réseau international et d'en désigner nommément les coupables constitue une tâche énorme requérant des ressources que je n'ai pas à ma disposition, et donc tel n'est pas là le but du présent article.  Cependant, et contrairement au reste de ce texte qui est basé sur une somme considérable de preuves écrites, matérielles, audio, vidéo et des choses dont j'ai été personnellement témoin, ce présent préambule ne se veut que ce que je décrivais quelques lignes plus haut : de souligner un indice clair permettant à la personne avertie de concevoir une théorie du "tout" concernant l'état actuel du trafic humain juvénile moderne permettant d'apporter un éclairage révélateur qui a l'avantage d'apporter une explication cohérente à quelque chose qui a priori n'a absolument rien de cohérent; le fameux fil conducteur auquel je faisais référence, justement.  Il ne s'agit donc, à ce stade et ce concernant seulement l'aspect des ramifications internationales, que d'une théorie, mais qui, je crois, mérite la peine d'être étudiée et d'être approfondie à la lumière de ce qui est rapporté tant au sein du reste de ce document qu'à travers des milliers de témoignages de par le monde.

C'est donc ainsi que la semaine dernière, alors en pleine tourmente provoquée par une série d'événements déclenchés en cascade en lien avec ce qui est rapporté à travers les autres sections de ce texte, texte auquel je désirais dès ce moment de m'atteler à la tâche de sa rédaction, chose qui m'a justement été rendue impossible par la tourmente à laquelle je viens de faire référence; c'est donc ainsi, disais-je, que je suis tombé par hasard sur Facebook sur une capture d'écran que venait de diffuser un de mes contacts, concernant une publication diffusée le 6 novembre 2012 sur le profil de la Fondation du Centre Jeunesse de Québec, selon laquelle un voyage serait offert à l'encan lors d'un cocktail dinatoire (donc, une activité de financement).  Mais voilà, et c'est là que l'information n'est pas banale pour le lecteur averti, ce voyage a comme destination le vignoble du Baron Philippe de Rothschild à Bordeaux, en France, d'où est issu le fameux Mouton Rothschild.

Mais qui est donc le Baron Philippe de Rothschild?  La page Wikipédia qui lui est consacrée (http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_de_Rothschild) vous donnera déjà un bon résumé de son histoire officielle.  Mais ce n'est pas tant le Baron Philippe qui m'interpelle ici, surtout que le bonhomme est mort depuis déjà 25 ans, mais surtout son nom de famille, Rothschild, car cette famille est illustrement connue à travers l'Histoire et non pas pour leur talent en tant que vignobles, mais bien en tant que bandits de grands chemins, fabricants de conflits mondiaux entre États-nations, de ceux que l'on appelle aujourd'hui "banquiers"; à plus forte raison que c'est non seulement un de leur ancêtre qui a pratiquement inventé la pratique bancaire, mais que celui-ci (et sa descendance) se vit confier la gestion bancaire de la richesse des monarchies de l'époque.  Mon but n'est pas ici de faire un historique exhaustif de l'évolution de la fortune et (surtout) de l'influence exercée par le Clan Rothschild à travers les 4 ou 5 derniers siècles (ce sujet est largement documenté sur Internet (http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Rothschild est un point de départ intéressant) et peut faire l'objet d'un article de recherche en soi), mais bien de faire comprendre au lecteur qui ne serait pas familier avec cette famille et de tout le bagage qui lui est associé qu'une telle position privilégiée, celle d'être "les premiers" combinée aux fortunes colossales de l'époque dont ils avaient la gestion, gestion qui se perpétue toujours de nos jours au sein du système bancaire moderne et surtout international, constitue dans les faits que cette famille, auxquelles s'est associée d'autres noms tels que Warburg, Rockefeller, Goldman Sachs, Lehman et quelques autres (http://resistance71.wordpress.com/2011/06/03/oligarchie-financiere-les-huit-familles-derriere-le-cartel-banquier-prive-international-lennemi-des-peuples-a-un-nom-et-des-visages/), ne forme ni plus ni moins qu'une sorte de consortium mondial politico-économique; les maîtres du monde en quelque sorte, ceux qui dictent aux gouvernements du monde entier comment dépenser l'argent qui leur est mis à disposition, peu importe qui est porté au "pouvoir" par la population à la tête d'un pays, que ce soit par la voie électorale ou autre.  Si l'image populaire actuelle veut que "nous sommes le 99%", en opposition au "1% de la population qui possède tout", alors la famille Rothschild et les familles associées sont définitivement le 1% de ce 1%.  Nous sommes dans le petit lait écrémé de la très-haute-société.

Qu'est-ce que cela peut représenter, concrètement, en lien avec le reste de cet article?

Avant de répondre à cette question, je vais d'abord procéder avec une petite anecdote qui s'est déroulée à un moment donné au sein des événements qui seront relatés dans les prochaines sections de ce texte, histoire déjà de tenter de démontrer la différence de mentalité et de perception de la réalité qu'il peut exister entre un "99%" et un "1%" typique.  Alors que j'attendais assis dans la salle d'attente d'un bureau d'avocats, l'un d'eux entra et entama une discussion amicale avec la réceptionniste du bureau.  La discussion a rapidement portée sur le fait que cet avocat était appelé à faire des apparitions télévisées sur les ondes du Réseau de l'information (SRC-RDI).  Celui-ci y alla alors d'un vibrant plaidoyer envers le professionnalisme et la qualité du travail fait par le lecteur de nouvelles, considérant toutes les distractions autour de lui auquel est exposé cette personne dans l'exécution de son travail, qui consiste surtout à lire un texte écrit sur un téléscripteur.  Il y alla d'un tout aussi vibrant plaidoyer envers les journalistes de Radio-Canada, qui eux ont en plus l'obligation de faire leur travail en dehors du studio, de rapporter la nouvelle en direct sur les lieux, et surtout "qu'ils ne font pas un gros salaire, ces gens-là".  Je ne sais pas pour vous, et je ne connais pas personnellement le salaire moyen d'un journaliste de Radio-Canada, mais je ne connais pas beaucoup de gens dans mon entourage qui considèrerait qu'un journaliste de Radio-Canada fasse un "petit salaire".  Et pourtant, pour cet avocat, il s'agissait d'une évidence!

Si un simple petit avocat du Québec est détaché de la réalité du reste de la population au point d'inclure les journalistes de Radio-Canada avec les "gueux" que nous sommes à ses yeux, tentez maintenant d'imaginer ce que nous (incluant ce petit avocat) pouvons représenter aux yeux de ceux qui contrôlent les finances de la planète?

Et c'est ici qu'il devient pertinent de s'interroger sur un tel lien ouvertement affiché entre le réseau de Centres Jeunesse du Québec et la Maison Rothschild.

Car, encore une fois pour le lecteur averti, la "Légende" entourant la famille Rothschild ne s'arrête pas qu'à leurs méfaits banquiers.  C'est volontairement que j'ai utilisé des guillemets au mot "Légende", car mon but n'est pas ici de vous convaincre de la véracité de ce qui est contenu dans les quelques lignes qui suivent sur ce sujet (ici aussi une recherche appropriée est nécessaire pour accomplir cette tâche de manière convenable), mais de tout de même vous initier aux aspects plus méconnus et plus sombres de ces familles.  Plusieurs considèreront que ce qui suit n'est que pur produit de la "culture conspirationniste", à classer dans la même catégorie que les histoires d'OVNI et d'extra-terrestres ou encore de cette fameuse île déserte où seraient apparemment toujours vivants des personnages tels qu'Elvis Presley, Marilyn Monroe ou Adolphe Hitler; et pour le moment je n'en demande pas plus au lecteur sceptique concernant le sujet couvert par ce préambule.  Cependant, il est fort possible qu'à travers la lecture du reste du texte et à l'audition des preuves audio qui y sont incluses, que vous vous posiez à plusieurs reprises la toute simple question suivante : "Pourquoi?".  Ce préambule est la meilleure piste d'explication que je puisse personnellement fournir à ce jour en guise d'explication rationnelle à cette question fondamentale, quoique je ne peux le prouver hors de tout doute par mes seuls moyens.  Toujours est-il qu'advenant une hypothétique enquête journalistique et/ou policière entourant le voyage au Domaine Rothschild mentionné plus haut, et que cette enquête se devait de dévoiler au grand jour que ce qui est d'abord et avant tout présenté comme étant une oeuvre philanthropique n'est en fait qu'une couverture servant à camoufler un ignoble trafic d'enfants opérant au niveau international, et bien je n'en serais guère surpris.  Je tiens à préciser de nouveau que ce scénario n'est que pure spéculation à ce stade.  Mais voici tout de même pourquoi un tel scandale ne me surprendrait pas.

Malgré qu'encore un nombre impressionnant de personnes refusent de voir la réalité de ce qu'il est maintenant convenu d'appeler le Nouvel Ordre Mondial (en anglais, "New World Order", NWO), toujours est-il que cette dénomination qui a été utilisée par de nombreux hommes politiques de par le monde regroupe en son sein toute une panoplie d'organisations sectaires plus ou moins inter-reliées entre elles, tout autant de sociétés secrètes imbriquées les unes sur les autres dans un format pyramidal, le pouvoir se trouvant au sommet et les niveaux inférieurs servant à protéger ses propres intérêts ainsi que ceux des paliers supérieurs, allant même jusqu'à user si nécessaire des paliers inférieurs pour arriver à leurs fins; de telle sorte que les niveaux les plus bas de la pyramide ignorent totalement l'origine réelle des ordres auxquels ils obéissent, ni à quels intérêts privés ils collaborent réellement.  Les leviers de pouvoir et d'influence au sein de cette pyramide s'opèrent à travers les liens d'argent et les réseaux de contacts privilégiés qui seront toujours aptes à nous sortir du pétrin au besoin, et ce même de manière clandestine si nécessaire.  Il est donc évident que dans un tel système pyramidal où l'argent y règne en maître, les maîtres de l'argent (donc, les banquiers privés internationaux, Rothschilds en tête) y règnent donc en pouvoir absolu avec un pouvoir presque divin sur l'ensemble de la société humaine de la planète entière, ou peu s'en faut.  Cette pyramide du pouvoir peut donc se comparer à une sorte de bête tentaculaire dont les tentacules seraient dotées chacune d'une intelligence primaire indépendante du reste de l'organisme, mais obéissant toujours au centre de commande central qui lui, grâce à sa grande indépendance d'action que lui procure ses membres indépendants semi-intelligents, donne l'impression (mais il ne s'agit que d'une apparence) d'être en mesure de tout voir, et d'ainsi tout contrôler, tel un véritable Big Brother tel qu'imaginé par George Orwell dans son roman 1984.  C'est d'ailleurs toute cette symbolique particulière qui est représentée à même les billets de banque américains avec l'étrange symbole de la "pyramide avec un oeil".  Il faut savoir que ces gens aiment particulièrement se cacher en s'exposant au grand jour à travers leurs éléments symboliques particuliers.


Là où les choses deviennent vraiment troublantes et pertinentes dans l'optique des abus de la DPJ au Québec et dans les divers services sociaux destinés à la protection de l'enfant à travers le monde, c'est qu'il est généralement admis au sein des groupes que certains qualifieraient de "conspirationnistes" et de "théoriciens du complot" que les cartels d'influence opérant au sein de cette pyramide du pouvoir se livrent à des pratiques que la plupart d'entre nous jugeraient tout simplement comme ignobles, voire inimaginables (ce qui est entre autre une des raison qui fait que beaucoup ont du mal à croire que cela puisse être possible).  Ces cercles du pouvoir clandestins et occultes sont de nature franc-maçonnique et se proclament de la "lumière" et de l'illumination, d'où leur appellation de Illuminati, mais sont en réalité des cultes sataniques voués à l'adoration de Lucifer (l'Être de Lumière).  Peu importe si vous ou moi croyons ou non à Satan et Lucifer, l'important ici est de savoir que EUX y croient, et qu'ils prennent ça très au sérieux, au point de pratiquer encore de nos jours des rites barbares comme le sacrifice humain, et particulièrement celui d'enfants.  Ces cercles sataniques sont également réputés pour être des milieux hautement pédophiles.  Ces deux motifs constituent donc, dans un monde dominé par l'appât du gain et la corruption, une "demande économique" comme une autre, sachant déjà que pour eux un être humain n'est qu'une vulgaire marchandise (et la guerre représente une opportunité d'investissement); et donc dans un univers où la libre entreprise règne sans aucune morale, une "demande" justifie donc qu'il y ait une "offre".  Et c'est à cette "offre" que répond les divers systèmes de protection de l'enfant comme la DPJ, affaiblir et isoler mentalement des êtres vulnérables, séparés de toute attache parentale contre leurs droits les plus fondamentaux, afin d'en faire des esclaves sexuels ou pire encore, tout cela pour le bon plaisir pervers de la très-haute-société et avec la complicité de nombre de notables au sein de la société, incluant et surtout des hommes de loi, et ce au nom de la protection de l'enfance et sous le sceau de l'État.  J'aimerais d'ailleurs attirer l'attention du lecteur sur le film "Eyes Wide Shut" ("Les yeux grand fermés") de Stanley Kubrick mettant en vedette Tom Cruise et Nicole Kidman et qui est une représentation assez fidèle du type de rituel cérémonial satanique et franc-maçonnique dépravé propre à ces groupes de gens fortunés aux pratiques mafieuses et inhumaines, tel un cartel criminel de vampires pédophiles.  Un univers où la plus vile des corruption y règne en maître sur le dos de la misère humaine.

C'est le constat que j'en dresse à la lumière de l'enquête présentée ici en ce qui concerne la dimension Québécoise, appuyée sur des faits et des preuves tangibles.  Ici donc cesse toute spéculation à partir de ce point.

Vidéo : Anonymous : Pédophilie d'état, nous savons.



Pré-Introduction : Les intérêts supérieurs de l'enfant, la LPJ et la DPJ


Avant d'aller plus en profondeur dans le vif du sujet que je désire aborder avec cet article, je crois qu'il peut être très utile pour le lecteur de se familiariser avec quelques concepts de base de la Loi sur la Protection de la Jeunesse (LPJ) à laquelle se doit d'obéir la Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ).  En effet, au vu de ma propre expérience récente à côtoyer les milieux des Chambres Jeunesse (autrement dit, les tribunaux en charge des dossiers de la DPJ), puisqu'il m'apparait évident que juges, avocats et intervenants ont eux-même oubliés ces quelques principes de base (et ce même s'ils rabrouent en rejetant le document du revers de la main en maugréant qu'ils sont au courant des dispositions de la loi lorsque l'on tente de le leur rappeler), il peut être plus qu'important d'en énumérer les principes ici pour le bénéfice de tous.  L'un des objectifs que je vise à travers cet exercice est de faire réaliser au lecteur que cette loi n'a pas les "dents" que l'on pourrait croire qu'elle possède au vu des actions menées par la DPJ au sein de ses opérations; autrement dit, nous aurions tort de "déduire" la Loi de la Protection de la Jeunesse sur les seules actions de la DPJ, puisqu'un très grand nombre des actions menées par la DPJ sont en contravention directe avec la LPJ.  L'ignorance des parents victimes de cette organisation que je n'hésite pas à qualifier de criminelle face à la LPJ est à la fois exploitée et maintenue par les divers intervenants qui n'hésitent souvent pas à user de menaces et d'intimidation pour obtenir un "consentement" qui autrement nécessiterait qu'il soit exprimé de manière libre et éclairé afin d'être valide aux yeux de la loi, quand ce n'est pas de carrément poser des gestes clairement interdits par la loi, comme par exemple tout ce qui concerne les activités professionnelles réservées (comme les évaluations médicales, psychologiques, etc.).

Autrement dit, les actions menées par la DPJ sont en très grande partie effectuées en contravention non seulement de la LPJ, mais également du Code Civil, du Code de Procédure Civile, du Code Criminel, de déclarations de droit international et des principes de justice naturelle et des principes fondamentaux en Droit, le tout au nom de la protection de la jeunesse.  C'est ce comportement criminel (appuyé par de nombreux complices infiltrés un peu partout dans la machine d'État, et en particulier les institutions de justice) associé à une ignorance généralisée de la loi au sein de la population, et en particulier des plus démunis, qui confère à la DPJ son aura d'institution Toute-Puissante et Vengeresse, et dont on ne veut surtout pas s'attirer l'attention et encore moins les foudres, pour soi et pour ses proches, ce qui favorise en contre-partie le maintien de la Loi du Silence; la peur de représailles potentielles de la part de la DPJ (et ce même à travers un autre bras de l'État) prédomine sur la peur des reproches pour manquements professionnels, faisant ainsi de gens autrement honnêtes d'ignobles complices de ces crimes sans nom.  Et ce sans exclure bien entendu la présence de véritables complices actifs au sein de ces institutions professionnelles.

Ainsi, comme vous allez bientôt le constater par vous-même, contrairement à la croyance populaire, la solution appliquée par la DPJ dans la grande majorité des cas qui consiste à sortir l'enfant de son milieu familial pour le placer en centre spécialisé ou en famille d'accueil ne constitue pas selon la loi ce qui devrait être la norme, mais bien l'extrême exception.  Il faut mentionner qu'il est bénéfique pour la DPJ dans son oeuvre d'asservissement de l'enfant de procéder ainsi, à l'encontre de ses droits fondamentaux et de ceux de ses parents, puisque ceci permet dans un premier temps de couper le contact familial et ainsi de mieux oeuvrer à l'annihiler au fur et à mesure que les parents perdront la garde légale de leur enfant à travers un processus judiciaire truqué d'une manière innommable; et dans un deuxième temps de perpétrer l'image de Toute-Puissance que désire projeter la DPJ dans l'imaginaire collectif, ce qui contribue à alimenter le vicieux préjugé auquel j'ai déjà fait référence dans un précédent article (http://particitoyenduquebec.blogspot.com/2013/02/la-dpj-pire-que-les-orphelins-de.html) selon lequel "si la DPJ s'en est mêlée, c'est que ça doit être justifié", ou encore que "si la DPJ s'en est mêlé, c'est que l'enfant était battu ou abusé sexuellement" alors que les motifs réels peuvent être tout autre et même très bénins, jetant ainsi un halo négatif sur les parents qui contribue à les isoler davantage alors qu'ils ont besoin d'aide et de support plus que jamais afin de traverser cette épreuve injuste.  Et ça c'est quand la DPJ n'alimente pas carrément un conflit entre les parents, les divisant et isolant encore d'avantage, gaspillant énergies dans une lutte destructrice plutôt que de se concentrer sur ce qui est réellement important, c'est-à-dire les intérêts supérieurs de l'enfant.

C'est également afin d'outiller convenablement le lecteur des enjeux et objectifs visés par la LPJ que je prends la peine de faire cette brève introduction à cette loi, afin que le lecteur soit en mesure de porter un jugement éclairé sur ce dont il prendra connaissance par la suite, jugement appuyé sur la connaissance de la loi régissant les actions de la DPJ et non sur les préjugés véhiculés et propagés par cette institution.

Pour faciliter encore plus la tâche du lecteur à travers la lecture de ces quelques articles de loi, j'ajouterai une emphase particulière sur les sections spécifiques sur lesquelles j'aimerais particulièrement attirer votre attention.  J'ajouterai également quelques commentaires à certains endroit spécifiques en relation avec les événements rapportés dans le reste de cet article afin d'alimenter la réflexion sur le sujet.

Vous pouvez consulter la loi dans son entièreté en suivant le lien suivant (http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/P_34_1/P34_1.html).


2. La présente loi s'applique à un enfant dont la sécurité ou le développement est ou peut être considéré comme compromis.

Note : Déjà il faut remarquer que par ses agissements, la DPJ elle-même compromet régulièrement le développement des enfants du seul fait de le retirer de son milieu familial, et cause ainsi donc le préjudice même qu'elle est sensé veiller à mettre fin; alors qu'en même temps elle s'abstient d'agir dans des cas où son implication serait pourtant requise.

CHAPITRE II
PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DROITS DES ENFANTS

2.2. La responsabilité d'assumer le soin, l'entretien et l'éducation d'un enfant et d'en assurer la surveillance incombe en premier lieu à ses parents.


2.3. Toute intervention auprès d'un enfant et de ses parents en vertu de la présente loi doit:

 a) viser à mettre fin à la situation qui compromet la sécurité ou le développement de l'enfant et à éviter qu'elle ne se reproduise;

Note : Ceci implique également, à mon humble avis, le devoir de ne pas placer les enfants visés par la loi dans un environnement les exposants à des situations de compromission du développement encore pire que le milieu familial de celui-ci;


 b) privilégier, lorsque les circonstances sont appropriées, les moyens qui permettent à l'enfant et à ses parents de participer activement à la prise de décision et au choix des mesures qui les concernent.

Une personne, un organisme ou un établissement à qui la présente loi confie des responsabilités envers l'enfant et ses parents doit favoriser la participation de l'enfant et de ses parents ainsi que l'implication de la communauté.

Les parents doivent, dans la mesure du possible, participer activement à l'application des mesures pour mettre fin à la situation qui compromet la sécurité ou le développement de leur enfant et pour éviter qu'elle ne se reproduise.


2.4. Les personnes à qui la présente loi confie des responsabilités envers l'enfant ainsi que celles appelées à prendre des décisions à son sujet en vertu de cette loi tiennent compte, lors de leurs interventions, de la nécessité:

 1° de traiter l'enfant et ses parents avec courtoisie, équité et compréhension, dans le respect de leur dignité et de leur autonomie;

 2° de s'assurer que les informations et les explications qui doivent être données à l'enfant dans le cadre de la présente loi doivent l'être en des termes adaptés à son âge et à sa compréhension;

 3° de s'assurer que les parents ont compris les informations et les explications qui doivent leur être données dans le cadre de la présente loi;

 4° de permettre à l'enfant et à ses parents de faire entendre leurs points de vue, d'exprimer leurs préoccupations et d'être écoutés au moment approprié de l'intervention;

 5° de favoriser des mesures auprès de l'enfant et de ses parents en prenant en considération qu'il faut agir avec diligence pour assurer la protection de l'enfant, compte tenu que la notion de temps chez l'enfant est différente de celle des adultes, ainsi qu'en prenant en considération les facteurs suivants:

a)  la proximité de la ressource choisie;

b)  les caractéristiques des communautés culturelles;

c)  les caractéristiques des communautés autochtones.


3. Les décisions prises en vertu de la présente loi doivent l'être dans l'intérêt de l'enfant et dans le respect de ses droits.

Sont pris en considération, outre les besoins moraux, intellectuels, affectifs et physiques de l'enfant, son âge, sa santé, son caractère, son milieu familial et les autres aspects de sa situation.


4. Toute décision prise en vertu de la présente loi doit tendre à maintenir l'enfant dans son milieu familial.

Note : Difficile d'être plus clair.


Lorsque, dans l'intérêt de l'enfant, un tel maintien dans son milieu familial n'est pas possible, la décision doit tendre à lui assurer, dans la mesure du possible auprès des personnes qui lui sont les plus significatives, notamment les grands-parents et les autres membres de la famille élargie, la continuité des soins et la stabilité des liens et des conditions de vie appropriées à ses besoins et à son âge et se rapprochant le plus d'un milieu familial. De plus, l'implication des parents doit toujours être favorisée dans la perspective de les amener et de les aider à exercer leurs responsabilités parentales.

Lorsque, dans l'intérêt de l'enfant, le retour dans son milieu familial n'est pas possible, la décision doit tendre à lui assurer la continuité des soins et la stabilité des liens et des conditions de vie appropriées à ses besoins et à son âge de façon permanente.


5. Les personnes à qui la présente loi confie des responsabilités envers l'enfant doivent l'informer aussi complètement que possible, ainsi que ses parents, des droits que leur confère la présente loi et notamment du droit de consulter un avocat et des droits d'appel prévus à la présente loi.

Lors d'une intervention en vertu de la présente loi, un enfant ainsi que ses parents doivent obtenir une description des moyens de protection et de réadaptation ainsi que des étapes prévues pour mettre fin à cette intervention.

Note : La loi stipule pourtant très clairement que des moyens doivent être mis en place en coopération avec les parents pour non seulement maintenir l'enfant dans son milieu familial, mais également et surtout un plan d'action visant à mettre éventuellement un terme à l'intervention de la DPJ au sein de ce milieu familial.  Pourtant, voilà bien ce que demande nombre de parents et d'enfants victimes d'abus de la DPJ, que les interventions de celle-ci cessent.


6. Les personnes et les tribunaux appelés à prendre des décisions au sujet d'un enfant en vertu de la présente loi doivent donner à cet enfant, à ses parents et à toute personne qui veut intervenir dans l'intérêt de l'enfant l'occasion d'être entendus.

Note : Comme vous allez le constater plus loin, ce droit est régulièrement bafoué au Tribunal de la Chambre de la Jeunesse, et ce carrément pour les parents eux-même, ce qui rend difficile d'en exercer l'application pour des tierces parties qui désireraient se prononcer sur le sujet.  D'ailleurs, la confidentialité entourant les dossiers DPJ (supposément pour la protection de l'identité des enfants) sert d'excuse pour tenir des audiences à huis-clos et où toute personne n'étant pas directement impliquée dans le dossier n'a pas accès, ce qui contrevient aux dispositions contenues dans cet article.


7. Avant qu'un enfant ne soit transféré d'une famille d'accueil ou d'une installation maintenue par un établissement qui exploite un centre de réadaptation à une autre famille d'accueil ou à une installation maintenue par un autre établissement qui exploite un centre de réadaptation, les parents de l'enfant et celui-ci, s'il est en mesure de comprendre, doivent être consultés.

L'enfant doit recevoir l'information et la préparation nécessaires à son transfert.


8. L'enfant et ses parents ont le droit de recevoir des services de santé et des services sociaux adéquats sur les plans à la fois scientifique, humain et social, avec continuité et de façon personnalisée, en tenant compte des dispositions législatives et réglementaires relatives à l'organisation et au fonctionnement de l'établissement qui dispense ces services ainsi que des ressources humaines, matérielles et financières dont il dispose.

L'enfant a également le droit de recevoir, aux mêmes conditions, des services d'éducation adéquats d'un organisme du milieu scolaire.

De plus, l'enfant et ses parents ont le droit d'être accompagnés et assistés par une personne de leur choix lorsqu'ils désirent obtenir des informations ou lorsqu'ils rencontrent le directeur ou toute personne qu'il autorise.


9. L'enfant hébergé par une famille d'accueil ou par un établissement qui exploite un centre de réadaptation ou un centre hospitalier a droit de communiquer en toute confidentialité avec son avocat, le directeur qui a pris sa situation en charge, la Commission, les juges et greffiers du tribunal.

Il peut également communiquer en toute confidentialité avec ses parents, frères et soeurs, à moins que le tribunal n'en décide autrement.

Note : Et c'est ici que les problèmes commencent, au moment où le tribunal (sur les recommandations souvent biaisées des intervenants de la DPJ) s'implique dans le dossier et commence à éroder juridiquement les droits fondamentaux de l'enfant et des parents, à commencer par couper le droit de communiquer entre eux.  C'est le début de l'engrenage des décisions arbitraires qui s'enclenche, comme vous pourrez le constater par la suite.


Il peut aussi communiquer en toute confidentialité avec toute autre personne à moins que le tribunal n'en décide autrement ou que le directeur général de l'établissement qui exploite le centre de réadaptation ou le centre hospitalier ou la personne qu'il autorise par écrit n'estime qu'il y va de l'intérêt de l'enfant de l'empêcher de communiquer avec cette personne. La décision du directeur général doit être motivée, rendue par écrit et remise à l'enfant de même que, dans la mesure du possible, à ses parents.

L'enfant ou ses parents peut saisir le tribunal d'une telle décision du directeur général. Cette demande est instruite et jugée d'urgence.

Le tribunal confirme ou infirme la décision du directeur général. Il peut, en outre, ordonner au directeur général de prendre certaines mesures relativement au droit de l'enfant de communiquer à l'avenir avec la personne visée dans la décision du directeur général ou toute autre personne.

Note : Laissons maintenant de côté la section correspondant aux principes généraux de cette loi et jetons un rapide coup d'oeil aux responsabilités confiées au Directeurs de la protection de la jeunesse.


SECTION II
DIRECTEUR DE LA PROTECTION DE LA JEUNESSE

31. Un directeur de la protection de la jeunesse est nommé pour chacun des établissements qui exploitent un centre de protection de l'enfance et de la jeunesse.

Le directeur est nommé par le conseil d'administration de l'établissement sur recommandation du directeur général, après consultation auprès de l'agence, des organismes et des établissements qui exploitent soit un centre local de services communautaires, soit un centre de réadaptation et qui opèrent sur le territoire desservi par l'établissement qui exploite le centre de protection de l'enfance et de la jeunesse. Le directeur agit sous l'autorité directe du directeur général.


32. Le directeur et les membres de son personnel qu'il autorise à cette fin exercent, en exclusivité, les responsabilités suivantes:

 a) recevoir le signalement, procéder à une analyse sommaire de celui-ci et décider s'il doit être retenu pour évaluation;

 b) procéder à l'évaluation de la situation et des conditions de vie de l'enfant et décider si sa sécurité ou son développement est compromis;

 c) décider de l'orientation d'un enfant;

 d) réviser la situation d'un enfant;

 e) mettre fin à l'intervention si la sécurité ou le développement d'un enfant n'est pas ou n'est plus compromis;

 f) exercer la tutelle ou, dans les cas prévus à la présente loi, demander au tribunal la nomination d'un tuteur ou son remplacement;

 g) recevoir les consentements généraux requis pour l'adoption;

 h) demander au tribunal de déclarer un enfant admissible à l'adoption;

 i) décider de présenter une demande de divulgation de renseignements conformément aux dispositions du deuxième alinéa de l'article 72.5 ou de divulguer un renseignement conformément aux dispositions du deuxième ou du troisième alinéa de l'article 72.6 ou de l'article 72.7.

Note : On peut constater ici que le Directeur de la protection de la jeunesse est investi d'énormes pouvoirs, trop peut-être même à mon avis, y voyant un possible conflit d'intérêt entre l'exercice de certains de ceux-ci.  En effet, considérant que plusieurs couples désirant adopter un enfant (pour une raison ou une autre) seraient prêts à débourser des sommes d'argent relativement importantes en vue de la concrétisation de leur rêve parental, la tentation pour la personne qui détient à la fois le pouvoir d'évaluer et de décider de l'orientation d'un enfant, et ce jusqu'à l'ultime phase finale en ce qui concerne le lien parental légitime en faisant déclarer l'enfant admissible pour adoption (pouvoir en théorie limité par le tribunal, mais sachant que le tribunal suit presqu'aveuglément les recommandations du directeur, cette limitation est factice), incluant un pouvoir de tutelle dans les autres cas; la tentation donc pour la personne qui détient tous ces pouvoirs de ne pas en user de manière abusive et de façon à en tirer un profit personnel est tout simplement trop grand pour ne pas être considérée en ces temps de corruption généralisée.  Ces pouvoirs entrent en contradiction avec l'obligation légale de la DPJ de voir à maintenir l'enfant dans son milieu familial, d'où la source du conflit d'intérêts potentiel.  Cette personne est tout simplement placée de manière à ce qu'elle puisse agir, avec la complicité de son personnel qui aura été choisi en fonction de leur loyauté et leur obéissance plutôt que pour leur fibre morale, en tant que "passeur d'enfants", en vertu de sa capacité à sortir un enfant de son milieu familial (même si il faut pour cela mentir, monter des machinations, fabriquer des "preuves" ou ré-inventer la loi pour ce faire) et de le relocaliser en un autre lieu où invariablement des intérêts monétaires entre en jeu.  Que la destination finale soit l'adoption, la famille d'accueil ou le Centre Jeunesse, toutes ces situations qui au départ se devaient d'être temporaires sont devenues permanentes et avec de graves conséquences tant pour les enfants que pour les parents concernés.  Les enfants ainsi placés deviennent une marchandise que l'on peut vendre au plus offrant, selon les besoins requis : adoption, esclave sexuel pour pédophiles, prostitution juvénile pour les plus agé(e)s, l'apprentissage de la drogue, etc.  Nous verrons d'ailleurs un peu plus loin quelques chiffres monétaires liés avec un placement de la DPJ qui expliquent pourquoi le kidnapping d'enfants faits au nom de l'enfant est une activité génératrice de revenus pour plusieurs personnes qui ont donc avantage à entretenir ce système vicié plutôt que de voir à la réelle protection des enfants.


CHAPITRE IV
INTERVENTION SOCIALE

SECTION I
SÉCURITÉ ET DÉVELOPPEMENT D'UN ENFANT

38. Pour l'application de la présente loi, la sécurité ou le développement d'un enfant est considéré comme compromis lorsqu'il se retrouve dans une situation d'abandon, de négligence, de mauvais traitements psychologiques, d'abus sexuels ou d'abus physiques ou lorsqu'il présente des troubles de comportement sérieux.
 Note : Toutes des situations dont nombre d'enfants ont été exposés suite à l'intervention de la DPJ dans leur vie.
On entend par:

 a) abandon: lorsque les parents d'un enfant sont décédés ou n'en assument pas de fait le soin, l'entretien ou l'éducation et que, dans ces deux situations, ces responsabilités ne sont pas assumées, compte tenu des besoins de l'enfant, par une autre personne;

 b) négligence:

1°  lorsque les parents d'un enfant ou la personne qui en a la garde ne répondent pas à ses besoins fondamentaux:

i.  soit sur le plan physique, en ne lui assurant pas l'essentiel de ses besoins d'ordre alimentaire, vestimentaire, d'hygiène ou de logement compte tenu de leurs ressources;

ii.  soit sur le plan de la santé, en ne lui assurant pas ou en ne lui permettant pas de recevoir les soins que requiert sa santé physique ou mentale;

iii.  soit sur le plan éducatif, en ne lui fournissant pas une surveillance ou un encadrement appropriés ou en ne prenant pas les moyens nécessaires pour assurer sa scolarisation;

2°  lorsqu'il y a un risque sérieux que les parents d'un enfant ou la personne qui en a la garde ne répondent pas à ses besoins fondamentaux de la manière prévue au sous-paragraphe 1°;

 c) mauvais traitements psychologiques: lorsque l'enfant subit, de façon grave ou continue, des comportements de nature à lui causer un préjudice de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation. Ces comportements se traduisent notamment par de l'indifférence, du dénigrement, du rejet affectif, de l'isolement, des menaces, de l'exploitation, entre autres si l'enfant est forcé à faire un travail disproportionné par rapport à ses capacités, ou par l'exposition à la violence conjugale ou familiale;

 d) abus sexuels:

1°  lorsque l'enfant subit des gestes à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation;

2°  lorsque l'enfant encourt un risque sérieux de subir des gestes à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation;

 e) abus physiques:

1°  lorsque l'enfant subit des sévices corporels ou est soumis à des méthodes éducatives déraisonnables de la part de ses parents ou de la part d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation;

2°  lorsque l'enfant encourt un risque sérieux de subir des sévices corporels ou d'être soumis à des méthodes éducatives déraisonnables de la part de ses parents ou d'une autre personne et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation;

 f) troubles de comportement sérieux: lorsque l'enfant, de façon grave ou continue, se comporte de manière à porter atteinte à son intégrité physique ou psychologique ou à celle d'autrui et que ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour mettre fin à la situation ou que l'enfant de 14 ans et plus s'y oppose.


38.1. La sécurité ou le développement d'un enfant peut être considéré comme compromis:

 a) s'il quitte sans autorisation son propre foyer, une famille d'accueil ou une installation maintenue par un établissement qui exploite un centre de réadaptation ou un centre hospitalier alors que sa situation n'est pas prise en charge par le directeur de la protection de la jeunesse;

 b) s'il est d'âge scolaire et ne fréquente pas l'école ou s'en absente fréquemment sans raison;

 c) si ses parents ne s'acquittent pas des obligations de soin, d'entretien et d'éducation qu'ils ont à l'égard de leur enfant ou ne s'en occupent pas d'une façon stable, alors qu'il est confié à un établissement ou à une famille d'accueil depuis un an.


38.2. Toute décision visant à déterminer si un signalement doit être retenu pour évaluation ou si la sécurité ou le développement d'un enfant est compromis doit notamment prendre en considération les facteurs suivants:

 a) la nature, la gravité, la chronicité et la fréquence des faits signalés;

 b) l'âge et les caractéristiques personnelles de l'enfant;

 c) la capacité et la volonté des parents de mettre fin à la situation qui compromet la sécurité ou le développement de l'enfant;

 d) les ressources du milieu pour venir en aide à l'enfant et à ses parents.


39. Tout professionnel qui, par la nature même de sa profession, prodigue des soins ou toute autre forme d'assistance à des enfants et qui, dans l'exercice de sa profession, a un motif raisonnable de croire que la sécurité ou le développement d'un enfant est ou peut être considéré comme compromis au sens de l'article 38 ou au sens de l'article 38.1, est tenu de signaler sans délai la situation au directeur; la même obligation incombe à tout employé d'un établissement, à tout enseignant, à toute personne oeuvrant dans un milieu de garde ou à tout policier qui, dans l'exercice de ses fonctions, a un motif raisonnable de croire que la sécurité ou le développement d'un enfant est ou peut être considéré comme compromis au sens de ces dispositions.

Toute personne autre qu'une personne visée au premier alinéa qui a un motif raisonnable de croire que la sécurité ou le développement d'un enfant est considéré comme compromis au sens des paragraphes d et e du deuxième alinéa de l'article 38 est tenue de signaler sans délai la situation au directeur.

Toute personne autre qu'une personne visée au premier alinéa qui a un motif raisonnable de croire que la sécurité ou le développement d'un enfant est ou peut être considéré comme compromis au sens des paragraphes a, b, c ou f du deuxième alinéa de l'article 38 ou au sens de l'article 38.1, peut signaler la situation au directeur.

Les premier et deuxième alinéas s'appliquent même à ceux liés par le secret professionnel, sauf à l'avocat qui, dans l'exercice de sa profession, reçoit des informations concernant une situation visée à l'article 38 ou 38.1.
Note :  Ce qui est bizarre ici, c'est que j'ai entendu plusieurs témoignages où des signalement à la DPJ avaient été effectués par des professionnels de la santé ou de l'éducation, tel que prescrit dans cet article; mais, étrangement, dès que l'enfant est sous la charge de la DPJ, l'apparition de graves symptômes de compromission du développement, d'abus physique ou sexuels ne génère qu'un retentissant silence, et ce malgré toutes les tentatives d'interpeller ces professionnels du système public d'agir en vertu de leurs responsabilités personnelles et professionnelles et toujours en vertu de ce même article.  Les avocats, eux, sont dispensés de faire toute dénonciation de situations gravement compromettantes dont ils pourraient avoir connaissance, faisant ainsi d'eux des complices légaux à une opération de destruction d'en enfant.

39.1. Toute personne qui a l'obligation de signaler une situation d'abus physiques ou d'abus sexuels en vertu de l'article 39 doit le faire sans égard aux moyens qui peuvent être pris par les parents pour mettre fin à la situation.
Note :  Et à plus forte raison encore lorsque c'est le parent lui-même qui tente de faire reconnaitre une situation de compromission causée par les actions de la DPJ et dont il tente effectivement de mettre fin.

42. Un adulte est tenu d'apporter l'aide nécessaire à un enfant qui désire saisir les autorités compétentes d'une situation compromettant sa sécurité ou son développement, ceux de ses frères et soeurs ou ceux de tout autre enfant.


43. Une personne ne peut être poursuivie en justice pour des actes accomplis de bonne foi en vertu des articles 39 ou 42.
Note : La personne qui dénonce la DPJ en vertu des articles 39 ou 42 ne sera peut-être pas poursuivie, mais elle s'expose tout de même à des représailles et ce qu'elle ait agi de bonne foi ou non.

44. Nul ne peut dévoiler ou être contraint de dévoiler l'identité d'une personne qui a agi conformément aux articles 39 ou 42, sans son consentement.
Note : Comment peut-on protéger son identité lors d'une dénonciation lorsque la personne qui prend notre dénonciation est justement celle que l'on dénonce?  Ce facteur, combiné avec celui concernant les représailles, constituent un puissant levier favorisant l'implantation d'une omerta sur les activités illicites des individus agissant au sein de la DPJ.

Je n'irai pas plus loin pour le moment dans l'exploration du texte de la LPJ, ayant couvert déjà jusqu'ici l'essentiel à savoir à propos de cette loi avant toute autre chose.  Il faut savoir également que cette loi est appuyée par un Manuel de Référence sur la Protection de la Jeunesse (disponible ici en format .pdf) de 961 pages et qui, comme son nom l'indique, n'est ni plus ni moins que LE guide de référence en la matière au Québec.  Ce manuel est destiné à la fois aux intervenants de la DPJ, aux travailleurs sociaux, psychologues et psychoéducateurs, personnel de la santé et de l'éducation, juges, avocats ainsi qu'aux parents.  Cependant, tout comme la LPJ, ce manuel n'est pour ainsi dire jamais respecté (notamment en ce qui a trait à la priorité du maintien à domicile ou du cercle familial élargi de l'enfant), à se demander même si les premiers concernés sont au courant de son existence.

Le coeur du problème, c'est qu'un nombre considérable de personnes tirent directement un profit monétaire du fait des interventions de la DPJ et de la judiciarisation indue et souvent non-justifiée des dossiers.  À commencer par la DPJ et ses intervenants, dont les budgets sont en relation directe avec le nombre d'interventions (autrement dit, plus la DPJ réclame des fonds pour ses opérations en expansion, plus elle en reçoit), les juges et les avocats qui ont tout à gagner du fait de la multiplication et la prolongation du traitement des dossiers (ce qui justifient donc leur emploi, les dossiers judiciaires représentant une source de revenus directe pour ces gens), les familles d'accueil qui reçoivent les allocations familiales en plus d'un supplément d'aide auquel le parent naturel n'a pas droit, les parents naturels (qui font très souvent partie de la classe moins nantie de la société) qui se voient même facturer des "frais de services" pour la "prise en charge" (lire "kidnapping") de leur enfant (une véritable extorsion à mes yeux), allant même jusqu'aux écoles qui reçoivent des budgets supplémentaires en fonction des "PI" (plans d'intervention), souvent non-justifiés, effectués arbitrairement sur les élèves non "conformes" aux désirs du directeur en place, budgets qui par la suite peuvent être ré-alloués n'importe où dans le budget de l'école sauf dans des services directs offerts à l'élève visé par la mesure DéPéJienne.

Tout ceci sans parler des diverses opportunités de corruption, de collusion, de pots-de-vin (la "carotte") quand ce n'est pas carrément de l'intimidation, des menaces ou de la violence (le "bâton") qui peuvent entrer en jeu à divers endroit dans le processus et ce de la part de diverses partie impliquées, le tout visant à maintenir l'immonde Loi du Silence dans le scandale de la DPJ, perpétrée à l'insu du public à l'intérieur des huis-clos de la Chambre Jeunesse, huis-clos supposément censé de protéger la confidentialité de l'identité de l'enfant, mais qui en réalité ne protège que la confidentialité des criminels qui y oeuvrent à longueur de journée.  Il n'y a pas d'autre mots pour décrire le fait que des avocats supposément censés défendre les droits et les intérêts soit de l'enfant, soit des parents (ensemble ou séparément) adoptent pourtant de manière systématique les positions de la partie adverse, soit de la DPJ; allant pourtant ainsi à l'encontre de leur Code de Déontologie, comme nous le verrons plus loin.


Introduction : Qui est Chantal Mino et pourquoi est-elle une "femme à abattre" pour la DPJ?

«TOUT EST PRIVILÈGE CONCÉDÉ PAR L’ÉTAT -- VOTRE VOITURE, VOTRE MAISON, VOTRE PROFESSION, BREF VOTRE VIE; ET CE QUE L’ÉTAT DONNE, IL PEUT LE REPRENDRE SI VOUS N’ÊTES PAS UN CONTRIBUABLE DOCILE» 
- déclaration faite et reconnue devant une commission de l’Assemblée Nationale du Québec par M. Pierre-André Paré, sous-ministre du Ministère du Revenu du Québec. (Le Devoir, 6 avril 1996, p.1)


Je ressens le besoin d'y aller avec un dernier élément d'introduction avant de finalement sauter dans le vif du sujet, et cet élément concerne celle avec qui je partage l'aventure qui est décrite dans cet article (car il s'agit bien d'une aventure), et j'ai nommé Mme Chantal Mino, psychoéducatrice de sa profession.  Il s'agit ici, et je parle de sa profession de psychoéducatrice, d'un facteur dont certaines personnes, d'une part, comprennent mal l'importance que cela peut avoir concernant la judiciarisation des dossiers de la DPJ, et surtout pour y mettre fin; et que d'autres personnes, d'autre part, ne le comprennent que trop bien et sont également au fait de la volonté de Mme Mino de défendre les intérêts supérieurs des enfants, de son intérêt moral supérieur à elle de porter secours à un être humain en danger, et des autres atouts dont elle dispose (une formation de 3 ans et une expertise en psychothérapie de 5ans, des formations continues en psychoéducation ainsi que des formations non complétées en microbiologie et en droit) qui sont tout autant d'outils qu'elle met à la disposition de personnes aux prises avec la DPJ dans le but de les sortir eux et leurs enfants de ce guêpier maudit.  Elle est donc un irritant grain de sable dans l'engrenage et c'est donc pourquoi certaines personnes sont prêtes à toute sortes de tactiques déloyales et même illégales afin de lui mettre des bâtons dans les roues et si possible de la neutraliser complètement, au moins sur le plan juridique en autant que possible puisque c'est là que se situe le principal champs de bataille.

J'ai fait état de mesures de représailles dans la section précédente de cet article, et j'apporte en préambule une explication plausible permettant d'expliquer l'existence d'une structure occulte dont les ramifications se sont infiltrées à plusieurs postes-clés au sein de la société, et qui constitue en quelque sorte un État dans l'État (incluant services publics et entités corporatives non-étatiques), une sorte d'État-de-l'Ombre opérant au sein même de l'État légitime, permettant ainsi l'instrumentalisation de l'État à des fins de représailles illégales par un petit groupe de gens au comportement criminel.  Ce phénomène peut prendre des formes surprenantes et peut même aller jusqu'à l'extrême comme dans le cas de Me René Binet (http://www.barreau.qc.ca/pdf/journal/vol35/no17/professionavocat.html) qui s'est malheureusement suicidé le 7 mars 2011 (http://www.lenecrologue.com/necrologie/defunt/59610), lui-même en réaction du suicide de Ian en 2004, un jeune dont il était l'avocat (http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/57985/le-suicide-de-ian).  Je pourrais également faire mention de Marie-Claude Montpetit qui a dénoncé le Strippergate (scandale non directement lié à la DPJ) impliquant Denis Coderre (http://freako-jemesouviens.blogspot.ca/2012/06/strippergate-la-saga-coderre-montpetit.html) ou encore de Madeleine Drolet-Savoie qui subit les foudres du système de justice pour avoir osé se montrer critique envers les abus caractérisés de justice au sein des Chambres Jeunesse de la Cour du Québec (http://www.injustices.ws/ArticleView.php?article_id=6 et http://www.justice-qc.com/madeleine_drolet-savoie.htm).  L'emprise tentaculaire du maintien de la Loi du Silence sous le bienveillant Oeil qui voit tout.

À propos de Mme Mino, donc, ce qu'il faut savoir concernant son statut de psychoéducatrice, c'est que ce statut lui confère l'autorité légale nécessaire pour bloquer les malversations de la DPJ devant un tribunal qui se respecte (ce qui n'est pas toujours le cas comme nous allons le voir).  En effet, il existe nombre de gestes d'intervention et d'évaluation concernant le comportement et le développement de l'enfant qui sont tout autant de gestes réservés par la loi à certaines professions spécifiques, de la même façon que les diagnostics et les gestes chirurgicaux sont réservés aux médecins membres en règle du Collège des Médecins ou qu'un avocat se doit d'être membre du Barreau pour pouvoir se prétendre et agir en tant qu'avocat.  Il se trouve que dans les faits, de nombreux intervenants de la DPJ ne dispose pas des formations requises ni ne font partie d'aucun ordre professionnel en vertu desquels ils disposeraient de l'autorité légale et professionnelle nécessaire pour poser plusieurs de ces gestes réservés, et ce avec l'aval du tribunal qui plus souvent qu'autrement ne pense même pas à questionner si le témoin en question dispose des compétences nécessaires pour ce faire.  Choses que peut souligner (et souligne dans les faits lorsqu'elle en a l'occasion) Mme Mino lorsqu'elle est en mesure de se présenter en tant que témoin dans une cause en Chambre de la Jeunesse.  Son expertise professionnelle peut donc faire autorité devant la cour face à l'incompétence des intervenant(e)s de la DPJ, ce qui a fortement tendance à faire renverser la vapeur dans la direction du dossier jusqu'à ultimement retirer les enfants des griffes de la DPJ.  La principale différence entre Mme Mino et de nombreux autres intervenants professionnels du système public qui pourraient en faire autant et qui pourtant n'en font rien réside dans le fait que celle-ci refuse tout simplement d'endosser la Loi du Silence lorsque des vies humaines sont littéralement en jeu, refuse donc de plier soit à la corruption soit à l'intimidation (qui inclut aussi la seule peur que représente des représailles potentielles), ou même à un savant mélange des deux.  Le fait que Mme Mino travaille à l'extérieur du système public à titre de psychoéducatrice privée, voire même en tant que bénévole, lui procure une liberté d'action et de parole que ne peut avoir quelqu'un qui est rongé par la peur de perdre les acquis sociaux que lui procure sa stabilité d'emploi au sein de l'appareil d'État, et ce même si cette peur va à l'encontre de la protection du public et du respect de la loi.

D'ailleurs, si elle agit à titre privé présentement, ce n'est pas tant par choix que par obligation, puisqu'elle a effectivement subi diverses représailles ayant mené à des pertes d'emploi au sein du système public du seul fait qu'elle tient mordicus à opérer de manière professionnelle et en respect de son code de déontologie et de ses responsabilités légales en tant que professionnelle et en tant qu'être humain tout court, et donc de son refus catégorique de participer à la Loi du Silence lorsque des situations inacceptables sont commises au détriment d'un être vulnérable au sein du système public et de la société en général.  Pour l'avoir fréquemment côtoyé au cours des derniers mois et pour avoir été personnellement témoin de l'anecdote dont je vous fais part ici maintenant, je peux vous dire que Mme Mino est le genre de personne de prendre de son temps personnel, à brûle-pourpoint, afin de venir en aide à un itinérant toxicomane sourd et muet qui était visiblement en crise et en détresse après avoir quitté une auto de police.  Un malentendu était rapidement en train de se mettre en place laissant entendre que les policiers lui auraient "saisi" son allocation mensuelle (B.S.) sous prétexte qu'il aurait s'agit de "profits liés à la criminalité" (qui sont saisissables selon la loi).  Étant choquée d'entendre cela, et désirant vouloir en avoir le coeur net, elle communiqua avec cet itinérant avec le peu qu'elle connaissait du langage des signes; ensuite nous l'avons accompagné au poste de police 21 afin d'éclaircir la situation, l'itinérant n'ayant en sa possession qu'une petite carte d'affaire que lui a remis la police avec une inscription indiquant "vol qualifié" et des numéros de matricule.  Au poste, servant d'intermédiaire et d'interprète, elle a pu expliquer la situation de part et d'autres, un peu à la surprise des policiers qui ne sont pas habitués de voir quelqu'un prendre ainsi tout-de-go la défense d'un va-nu-pieds à la chemise ouverte qui s'exprime que par "aaaahheeeuuuuu", ce que quelqu'un pourrait prendre à tort pour une maladie mentale.  Vérification faite, et c'est ce qui fut ensuite expliqué par écrit à cet itinérant afin d'être sûrs qu'il ait bien compris (il avait d'ailleurs une plus belle main d'écriture que la mienne), cet itinérant a été volé de son argent par 2 personnes qu'il est en mesure d'identifier.  Les policiers à qui ils parlaient avant de descendre de leur voiture ont à ce moment pris sa plainte, mais n'ont peut-être pas été en mesure de lui communiquer correctement le reste de la procédure (vu le handicap auditif du plaignant) lorsqu'ils lui ont remis la carte d'affaire faisant foi que la plainte a bel et bien été déposé.  Les policiers contacteront avec lui plus tard pour le reste de l'enquête, sachant fort bien où le trouver du fait qu'il est, et je cite un des agents du Poste de Quartier 21 là-dessus, "accusé dans de nombreux dossiers, au moins autant de fois qu'il est la victime".  Fin de l'anecdote.  Le tout aura pris un peu plus d'une heure de notre temps.

À ce stade, je crois donc qu'il est utile de faire un bref survol de la vie professionnelle de Mme Mino à travers quelques événements marquants au fil de sa carrière.  Ses premières expériences négatives remontent donc autour de 1994-95, époque où Mme Mino effectuait alors les stages faisant partie de sa formation, ceux-ci se déroulant dans le réseau des Centres Jeunesse.  Elle fait état de cette première étape dans sa carrière comme d'un premier filtre visant à s'assurer l'inclusion exclusive des seuls futurs intervenants prêts à se "fondre dans le moule" au sein du système public.  Elle y a été étiqueté comme étant une personne ayant besoin "d'encadrement" du fait qu'elle refusait simplement de se faire complice de la Loi du Silence et d'obéir aux ordres tacites l'enjoignant de "laisser faire".  L'une de ses interventions en Comité réviseur de la DPJ lors de ses stages a permis de retirer des enfants de l'emprise d'une travailleuse sociale (lire t.s. par la suite) de la DPJ qui compromettait alors sérieusement leur développement en voulant les retirer de leur milieu familial avec des parents aimants mais extrêmement démunis et très peu instruits.  Elle s'est d'ailleurs fait dire (voire même reprocher) par cette t.s. suite à cette intervention qu'elle "avait la vocation", chose pour laquelle elle a subi des représailles (échec de stage).  Elle s'est d'ailleurs fait dire durant la même époque qu'elle ne "partageait pas les valeurs des psychoéducateurs".  Le tout a d'ailleurs failli la faire abandonner ce choix de carrière, ce que visait justement à accomplir ce genre de représailles.  Ce n'est d'ailleurs que lors d'une assemblée de l'Association des Psychoéducateurs qu'elle a finalement réaliser qu'elle n'était pas la seule au sein de sa profession à partager "sa" vision des choses, ce qui aura été déterminant dans son choix de poursuivre dans la voie sur laquelle elle s'était lancée.  Concernant cette période, elle déplore également le fait que ce sont des gens disposant d'une formation collégiale qui supervisent les stages d'étudiants universitaires, ce qui est un peu un non-sens selon elle, et j'aurais tendance à lui donner raison sur ce point.

De 1998 à 2001, son intervention directe aura contribué à sauver un enfant aux prises avec un faux diagnostic d'autisme, diagnostic qui a par la suite été "confirmé" par une sur-médication dont l'effet principal était de causer les symptômes correspondant à ce même faux-diagnostic, dans un dossier impliquant l'hôpital Ste-Justine et pour lequel Mme Mino a perdu injustement son emploi.  Une poursuite judiciaire a été engagée et s'est finalement réglée à l'amiable, à l'avantage de Mme Mino qui était dans son droit.  L'on aura tenté de lui faire accepter une entente de confidentialité sur le sujet, chose qu'elle a formellement refusé.  On lui aurait dit alors que "c'était du jamais vu" de refuser de signer une telle clause.  D'ailleurs, à cet effet, elle publie à l'automne 2000, à l'intention des autorités responsables et envoyé par les parents concernés, un document de plus de 686 pages, dont 486 étant des preuves des allégations contenues au sein de 120 pages de texte.  La DPJ a été impliquée dans ce dossier lorsque l'hôpital Ste-Justine a fait un signalement à la DPJ contre les parents qui avaient retiré leur enfant des services médicaux abusifs auxquels celui-ci était exposé inutilement et au détriment de sa santé durant près de 3 ans dans le département de psychiatrie de l'hôpital Ste-Justine.

De 2001 à 2009, Mme Mino oeuvre surtout au sein du système de santé.  Chaque publication d'article lié à son domaine professionnel s'accompagne de représailles sous une forme ou sous une autre, Mme Mino refusant obstinément de se faire complice par son silence de véritables drames humains lorsqu'elle dispose du pouvoir professionnel pour corriger et rectifier les choses en faveur de l'enfant, qui devrait toujours être le premier concerné au-delà des intérêts du "système".  En 2009, Mme Mino effectue une transition vers le milieu scolaire, où elle identifie également diverses problématiques et où l'excellence de ses interventions est souvent soulignée de lettres de recommandation.  À cet effet, je vous suggère de consulter le dernier mémoire déposé par Mme Mino à l'Assemblée Nationale (et qui inclut également 3 autres mémoires précédemment déposés par elle en 2001, 2002 et 2003) et qui contient, entre autre, le curriculum vitae de Mme Mino ainsi que lesdites lettres de recommandations et articles publiés à son sujet au cours de sa carrière (http://www.assnat.qc.ca/Media/Process.aspx?MediaId=ANQ.Vigie.Bll.DocumentGenerique_70407&process=Default&token=ZyMoxNwUn8ikQ+TRKYwPCjWrKwg+vIv9rjij7p3xLGTZDmLVSmJLoqe/vG7/YWzz).

En 2009, elle participe à la mise en place du programme CAFE à Montréal (Crise-Ado-Famille-Enfant), un système qui a fait ses preuves en Montérégie et à Québec, qui travaille en amont et qui vise justement à éviter et réduire le nombre de placements et de signalements faits à la DPJ.  Dans le cadre de ses fonctions, elle étaient donc appelée à travailler fréquemment et de manière étroite avec la DPJ, à qui elle référait parfois certains cas qu'elle jugeait alors appropriés.  Il faut dire qu'à cette époque, Mme Mino avait encore une confiance presqu'aveugle en l'intégrité de cette institution publique.  Il n'est pas dit qu'elle ferait la même chose aujourd'hui avec ce qu'elle a découvert à propos de la DPJ depuis ce temps.  Ce service ne serait plus l'ombre de lui-même de nos jours, selon les dires de Mme Mino.

Jusqu'à ce stade, et selon ses propres dires, elle considère tout de même que chaque élément de représailles jusqu'à ce moment était relativement mineur, et a été réglé de manière appropriée et considéré comme chose classée dans la très grande partie.  Cependant, un nouvel événement survient en 2010 qui amènera le niveau de représailles subies à un palier qu'elle même ne soupçonnait pas à l'époque, et dont les répercussions intensifiées et de nature parfois surprenante se font ressentir jusqu'à dans sa vie privée et celle de ses proches.

En effet, lors de son implication en tant que parent-entraîneur à vouloir tenter de résoudre une situation injuste au sein de l'administration du Club de Soccer de Montréal-Nord (des parents démunis lui ont fait mention d'avoir payé des frais pour des entraînements qui n'ont jamais eu lieu, opacité des livres comptables (http://www.radio-canada.ca/sports/soccer/2010/03/19/002-mtl-nord-vendredi.shtml)), voire même des comportements franchement mafieux, celle-ci ayant même reçu des menaces de mort pour laquelle l'accusée, Leila Nahkla, à été trouvée coupable (http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/12/03/005-csmn-nakhla-probation.shtml) (tapez "chantal mino club de soccer montréal nord" dans un engin de recherche pour plus d'informations sur ce dossier).  Cependant, les représailles liées à ce dossier n'allaient pas s'en arrêter là (Mme Nahkla ayant promis à Mme Mino un harcèlement étatique jusqu'à ce qu'elle en meure).  Parallèlement, Mme Mino reçoit diverses pressions (pouvant même aller jusqu'au harcèlement) de la part de directeurs d'école et de professeurs afin de la forcer à entériner des Plans d'Interventions (PI) injustifiés dont le seul but visait une augmentation artificielle des budgets, services (personnels) et matériels, au détriment de la santé mentale et du développement d'enfants normalement sains de corps et d'esprit, et dont la menace d'impliquer la DPJ était utilisée pour faire pression sur les parents récalcitrants face à l'imposition de ces Plans d'Intervention.  Son refus obstiné de participer à une telle opération que je qualifierais personnellement de criminelle, combiné à un autre incident où elle a voulu signaler un cas d'abus sexuel à la DPJ (en qui elle avait encore foi à ce moment) mais a finalement fait face au refus de la DPJ qui a préféré attribuer une ressource en classe pour encadrer le comportement de l'enfant (on "encadre" le comportement d'un enfant abusé plutôt que de tenter de mettre fin à l'abus???), lui a ultimement causé la perte de son emploi au sein de de la Commission Scolaire de la Pointe-de-l'Ile (CSPI), malgré les lettres de recommandations élogieuses qu'elle a reçue pour la même période d'emploi, au moment où les représailles se sont abattues sur son fils et qu'elle a été placée devant de choix de garder son emploi ou d'empêcher la destruction psychologique et la mise en échec scolaire de son enfant qui fréquentait une école de la CSPI.  Il a été placé dans une école privée de haut-niveau depuis, et figure parmi les premiers de classe.  Ce qui a, finalement, amené Mme Mino à agir à titre de professionnelle privée, là où elle peut agir avec une plus grande liberté d'action mais toujours dans le respect de son code de déontologie (contrairement à de nombreux autres "professionnels", comme nous allons le voir plus loin), plutôt que de continuer à tenter d'opérer au sein du système public.

C'est à cette même époque que Mme Mino constate (février 2012), à travers quelques cas qui lui ont été soumis par un de ses contacts professionnels qui a même dû insister auprès d'elle pour qu'elle s'en occupe, que les problèmes liés à la DPJ ne sont pas que le fait de quelques cas isolés comme on tente toujours de nous le faire croire, mais est plutôt le sombre résultat d'une machination plus systémique auquel de nombreux professionnels participent malheureusement de par leur silence, silence causé en grande partie de la peur de subir des représailles telles que celles dont à fait l'expérience Mme Mino.  C'est donc à partir de ce moment que Mme Mino a fait du dossier de la DPJ son principal cheval de bataille, ce qui allait éventuellement mener à la croisée de nos chemins respectifs.

À l'égard des représailles que Mme Mino et sa famille doivent subir de manière régulière et ce depuis maintenant 3 ans, concernant tous ces dossiers qui ont en commun d'impliquer des gens au comportement mafieux en lien avec la mafia italienne montréalaise, celles-ci prennent maintenant diverses formes, telles que mais pas nécessairement limité à : de la part de la Ville de Montréal, provenant du service de police qui refuse de prendre ses plaintes mais traite avec diligence les plaintes frivoles de ses voisins, des pompiers qui viennent éteindre son feu de cuisson pourtant conforme au règlement municipal en inventant de nouveaux règlements fictifs (quitte à se couvrir de ridicule), de l'urbanisme, de l'évaluation foncière, du recyclage, de l'assainissement de l'air; de la part de l'État Québécois, modification illégale du cadastre, plainte frivole de la part du Directeur Général des Élections; de la part de ses voisins qui lui font subir du harcèlement et commettent des méfaits sur son terrain avec le silence complice des policiers, intimidation intensive, nuisance lumineuse de haute intensité, et j'en passe.  Une avocate lui fait même mention que la DPJ a le bras assez long pour lui faire couper son téléphone, chose qui est entrée en jeu l'été dernier alors que Bell s'est mêlé de la partie en inventant de fausse factures.

Voici d'ailleurs à cet effet quelques preuves photographiques et vidéo de ces allégations :








Harcèlement de Chantal Mino par les pompiers de Montréal-Nord, 1er juillet 2011



Mise-à-jour 3 juillet 2014 : 2 vidéos supplémentaires montrant d'autres formes de harcèlement subi par les voisins de Chantal Mino :

Disclose.tv - Harcèlement de la part des voisins de Chantal Mino - 16 juin 2014




Disclose.tv - Harcèlement de la part des voisins de Chantal Mino - 17 juin 2014 avec Cris et menaces de 2011

Mise-à-jour 14 juillet 2014 : Installation du système de lumières haute-intensité et vandalisme sur la clôture :


Voir aussi l'article de juillet 2014 de Chantal Mino concernant les poursuites-bidons qu'elle a reçue de la part des Barreaux de Montréal et du Québec.

Une rencontre déterminante marque le début d'une aventure aux ramifications insoupçonnées


C'est ici donc que j'apparais dans le décor que je viens de planter avec tous ces préambules et introductions et que commence enfin l'aventure que je désire relater à travers cet article.  C'est donc en fin janvier-début février 2013, alors que je recommençais à peine à reprendre du collier avec mes actions militantes (surtout en-ligne à ce moment) après une pause nécessaire d'environ un an, que je reçois une communication provenant d'une mère qui m'avait contacté environ un an auparavant, via Facebook, à la recherche qu'elle était à l'époque pour toute forme d'aide pouvant l'aider à rétablir justice face au crime que son enfant subit aux mains de la DPJ, attirée à moi par mes écrits précédents sur le sujet et particulièrement sur le cas Godmé (sur lequel j'ai reçu des nouvelles positives et des moins positives depuis, mais je garde ceci pour un autre article).  Déjà, de cette première expérience avec les groupes de parents victimes de la DPJ sur Facebook tirée de mon expérience d'il y a 2 ans, qui sont (ou devrais-je dire "étaient", car les agents de désinformation et d'infiltration sont de plus en plus détectables de nos jours (http://korben.info/techniques-secretes-controler-forums-opinion-publique.html), l'expérience du temps aidant) de vrais nids de guêpes d'où émergent constamment des conflits entre gens qui devraient normalement être d'un naturel enclins à vouloir s'entraider à travers une cause commune, j'étais un peu réticent à vouloir me replonger dans cet univers dès cet instant où je tentais de reprendre du collier pour MA cause, celle de la Démocratie 2.0.  L'énorme différence, cette fois-ci et qui en fut une déterminante pour la suite des choses, c'est que cette mère ne désirait pas nécessairement entrer en contact avec moi directement, mais plutôt que j'entre moi-même en contact avec Chantal Mino, avec la particularité que celle-ci n'était pas un parent victime de la DPJ, mais bien une psycho-éducatrice bien au courant du drame qui a présentement cours depuis plus de 3 décennies, et qui cherche à rassembler et structurer les gens en un mouvement organisé, cohérent et efficace face à la DPJ, principalement à travers l'information et l'outillage adéquat et nécessaire afin de bien armer les parents face aux attaques vicieuses de l'ensemble DéPéJien, incluant les avocats, les Chambres Jeunesse de la Cour du Québec et les services policiers qui sont constamment complices de facto des crimes commis par la DPJ au nom de l'État québécois.

C'est donc dans cette optique que j'acceptai de contacter Mme Mino, un peu à reculons je l'avoue maintenant tellement j'ai été échaudé de mes premières expériences, mais puisque c'est une cause qui non seulement me tient à coeur mais qui est également vitale pour l'avenir de notre nation québécoise (toutes nationalités d'origine confondues), et puisque Mme Mino n'était pas directement victime de la DPJ et donc, que je ne m'exposais pas à la très forte charge émotive négative engendrée pas les actions néfastes du système DéPéJien qui vient généralement avec les cris de détresse des parents victimes, et qui est très perturbateur dans ma capacité d'agir dans la sphère rationnelle lorsque ma sphère émotionnelle est autant sur-sollicitée.  Un premier appel téléphonique eut donc lieu, et en quelques minutes à peine, grâce à son enthousiasme contagieux et à sa détermination conviviale, elle eut tôt fait de me convaincre de me présenter à une rencontre entre parents en lutte avec les abus de la DPJ, ne serait-ce qu'à titre de journaliste citoyen, rencontre qui visait justement à poser le premier jalon des objectifs mentionnés un peu plus haut.

Cette rencontre eut lieu dans les locaux du Mouvement Action Justice (MAJ, http://www.maj-quebec.com/), qui avait gracieusement offert la disponibilité de ses locaux à Mme Mino pour cette occasion.  C'est à cette occasion que j'ai rencontré également M. Henri Barnabé du MAJ, lui-même Orphelin de Duplessis.  C'est d'ailleurs de cette première rencontre, qui a tenu tant de la séance d'information et d'organisation que de séance de thérapie collective (ce qui fut moins "productif" au plan logistique des choses, mais néanmoins nécessaire afin de permettre aux gens présents de ventiler et de se solidariser à travers leurs expériences vécues, ce qui permet de structurer et solidifier les liens au sein du groupe par la suite), que fut issu mon article "La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis - Dixit un Orphelin lui-même" (http://particitoyenduquebec.blogspot.ca/2013/02/la-dpj-pire-que-les-orphelins-de.html), qui a rapidement fracassé tout mes records de lectorat sur mon blog à ce moment.

C'est donc avec le sentiment du devoir accompli que je croyait alors me délester de ce dossier pour un temps, et me reconcentrer davantage sur le projet de Démocratie 2.0, alors que j'en étais moi-même à expérimenter dans la pratique ("Comment faire sauter un ticket sans se fatiguer" http://particitoyenduquebec.blogspot.com/2013/04/comment-faire-sauter-un-ticket-sans-se.html) avec les théories légales que j'avançais dans l'oeuvre de référence en matière de vulgarisation des Droits Humains dans le système "légal" que j'avais publié quelques mois auparavant ("La Loi, le Gouvernement et Vous" http://particitoyenduquebec.blogspot.com/2013/01/la-loi-le-gouvernement-et-vous.html).  Il y avait également le site-laboratoire de la République Numérique du Kébek 2.0 (http://kebek2point0.org) que j'ai réellement négligé depuis que je l'ai lancé, conséquence de mon année pseudo-sabbatique.  Je pensais donc que mon assiette était pleine pour ma capacité d'action du moment, et je croyais que c'était très bien ainsi.

Qu'est-ce que j'ai pu être naïf!  À bien des niveaux, à commencer par le fait que la cause de la lutte aux abus de la DPJ aura constitué pour moi le vecteur idéal pour passer des principes théoriques de la Démocratie 2.0, et surtout sur les tergiversations à savoir "comment" la faire parvenir réalité, pour plutôt passer en mode de quasi-immersion en mode de pratique directe et à en définir les premiers balbutiements dans le monde concret, quitte à y aller par essais et erreurs et même avec les moyens du bord s'il le faut, l'important étant surtout de ne jamais être seul dans nos démarches contre le système actuel car l'Union fait la Force, comme nous allons le voir plus tard.  Plutôt que de tenter de convaincre les gens d'adopter un nouveau système qui semble théorique et utopique tant qu'il n'est pas concrétisé, dans le but d'atteindre une masse-critique qui ferait qu'un certain Grand Jour, d'un coup de baguette magique, la démocratie représentative disparaitrait et ferait place à la Démocratie Directe, cette cause (la DPJ) m'aura permis de prendre part dans l'action à un processus qui se veut progressif, qui se gagne au jour le jour au fil de nos droits et libertés que nous nous battons pour recouvrer face à un système public corrompu jusqu'à l'os, et un processus qui, surtout, s'émule facilement par des pairs de bonne volonté.  Le Peuple qui se réapproprie son propre pouvoir, finalement.

Mais bref, trêve de considérations politico-réformistes, revenons-en au coeur du sujet.

C'est environ un mois après cette rencontre que je fut recontacté de nouveau par Mme Mino, afin que je sois présent à une deuxième rencontre qui se voulait de faire le suivi et d'être dans la continuation de la première.  Cependant, cette fois-ci, la dynamique de groupe fut moins bonne, la rencontre ne devenant à toutes fins utiles qu'une vaste séance de thérapie collective.  Le temps avance, les gens ne se concentrent que sur leur douleur respective, et rien de réellement constructif n'est discuté au final de la réunion, alors que le but réel était de mobiliser les gens dans un plan d'action.  Force nous à été de constater que la DPJ laisse les gens dans un tel état de détresse et de découragement qu'il en devient parfois un défi de seulement se lever du lit le matin, alors il peut s'avérer plus difficile que nous l'envisagions au départ de créer un réel mouvement de protestation organisé et efficace contre les abus de la DPJ.  Une autre approche plus localisée au cas par cas mais avec une visée collective serait favorisée.

Durant cette même période, j'ai participé à une première émission de radio du Mouvement Action Justice diffusée sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3 FM le 15 février 2013, sur l'invitation de Mme Mino, émission dont le sujet était : les professionnels qui dénoncent la DPJ.  Je ne suis plus très sûr de la chronologie des événements, il se peut fort bien que cette première présence radiophonique se situe entre les deux rencontres de parents dont je viens de faire mention.  C'est à cette occasion que j'ai rencontré M. Hadj Zitouni, Président du MAJ et animateur de l'émission, pour la première fois.  Je ferai une seconde apparition radiophonique 2 semaines plus tard, soit le 1er mars, dans une émission dont le sujet découle directement des 2 rencontres dont j'ai fait mention, "Comment se protéger de la DPJ ?"

C'est à ce moment, après avoir reçu une première invitation de M. Barnabé environ un mois plus tôt, et ensuite de M. Zitouni, que je me suis joint sur une base bénévole au Mouvement Action Justice, croyant que j'y serais en mesure à la fois d'apprendre sur le système de justice et de mettre en application mes connaissances de Droit pour venir en aide à des victimes d'abus de pouvoir étatique.  Il faut dire que ce fut effectivement le cas, mais que ce fut plus en grande partie grâce au mouvement de la Tornade Mino qui m'a aspiré dans son tourbillon que du fait des tâches confiées par M. Zitouni ou encore par l'expérience supposément accumulée de MM. Zitouni et Barnabé au sein du mouvement dont ils sont à la tête.  C'est d'ailleurs ce sentiment d'avoir été en quelque sorte aspiré, à mon gré consentant oui, mais tout de même dans une aventure dont je n'avais pas anticipé au départ les proportions dans lesquelles elle s'est révélée au final, et qui se développent toujours au moment d'écrire ces lignes; et du fait que de son positivisme contagieux et sa candeur pour l'auto-dérision fait que Mme Mino est un personnage somme-toute plus haut-en-couleurs que la moyenne des gens, qui me donne cette ultime impression que je me suis retrouvé dans le même "pattern" que dans une aventure typique de Tintin.  Ce qui, au départ, ne se devait d'être qu'une journée normale parmi tant d'autres, a finalement causé une suite d'événements en chaine et qui, d'un événement à un autre, d'une journée à la suivante, nous nous retrouvions de plus en plus profondément impliqués dans un vaste complot, du fait que nous en étions témoins, d'une ampleur que même nous ne soupçonnions pas, et ce malgré notre connaissance des agissements malveillants de la DPJ et de son réseau tentaculaire ayant des ramifications jusqu'à chez Bell Canada, comme nous allons le voir plus loin.

C'est donc à ce moment que j'ai appris à connaitre Chantal Mino, a force de la côtoyer sur une base régulière, soit dans les locaux du Mouvement Action Justice, soit lors d'accompagnements en Palais de Justice au nom du Mouvement Action Justice, et ce jusqu'à environ la mi-mai 2013, moment où a pris fin chacun de notre côté notre collaboration respective avec le Mouvement Action Justice pour des raisons que j'élaborerai plus loin.  Mais une chose cependant qui n'a pas pris fin, c'est notre collaboration entre Mme Mino et moi-même et notre engagement envers certaines personnes toujours désireuses de nous suivre malgré notre divorce effectif d'avec le Mouvement Action Justice avec qui nous ne voulions plus entretenir aucun contact; et ce malgré même des rumeurs circulant dans le cercle des gens que nous aidions à l'effet que Mme Mino et moi-même étions en brouille, ce qui était toute évidence faux comme vous pouvez le constater.  Mais avant d'aller trop vite dans la progression de cette histoire, je veux revenir chronologiquement là où nous en étions rendus, c'est à dire aux débuts de notre collaboration entre Mme Mino et moi-même afin que vous appreniez progressivement à la connaitre de la même manière que je l'ai fait moi-même.

Ce qui me ramène au sujet de la dernière introduction à ce texte principal, à savoir "pourquoi Chantal Mino est-elle une « femme à abattre » pour la DPJ".

Au moment où j'ai rencontré et commencé à collaborer avec Mme Mino, celle-ci nous a fait part de divers éléments pertinents concernant les dossiers liés à la DPJ, et particulièrement en relation avec les cas dans lesquels elle a été impliqués comme preuves à l'appui.  C'est justement parce que Mme Mino a déjà réussi à contrecarrer les plans de la DPJ à deux reprises par le passé, et qu'elle ne démontre aucun intérêt à vouloir cesser de protéger les intérêts supérieurs des enfants confiés à la DPJ, qu'il est important, voire même impératif, pour la DPJ de voir à museler et à neutraliser juridiquement Mme Mino le plus possible, traitement dont même la juge Andrée Ruffo a été victime (plus de 300 plaintes à la magistrature de logées contre elle, seulement 2 de retenues mais tout de même suffisantes pour la faire destituer).  Je vous rappelle le rôle qu'elle a joué dans un premier dossier impliquant l'Hôpital Ste-Justine au début des années 2000 (enfant sur-médicamenté sans raison valable) et le fait que de son statut de psychoéducatrice elle possède le pouvoir exclusif réservé à certaines professions de poser certains gestes professionnels que posent également de manière régulière et tout à fait illégale des intervenants de la DPJ ne possédant pas les compétences requises pour poser de tels gestes, et que ce droit de pratique exclusif à sa profession à force de loi devant un tribunal qui se respecte en ce qui a trait aux témoignages d'experts face aux avis biaisés, abusifs et même très souvent parjuriant des intervenants de la DPJ.

La deuxième reprise où Mme Mino a réussit à contrecarrer les plans de la DPJ, plus récemment cette fois, concerne le cas de deux jeunes filles de 12 ans, de magnifiques soeurs jumelles pleines de vie, d'intelligence et d'entrain, qui avaient subit un étiquetage abusif provenant du milieu scolaire impliquant également un signalement à la DPJ, sous la fausse prétention que les jeunes filles étaient en troubles d'apprentissage scolaire et que le milieu familial compromettait apparemment leur développement en refusant d'admettre ces présumés troubles d'apprentissage par le refus de plusieurs suivis de spécialistes de toutes sortes.  Ces jeunes filles à qui l'on a fait croire qu'elles ne valaient rien, qu'elles étaient incapables d'apprendre, ce qui a été renforcé du fait qu'elles ont été retirées des classes normales pour être insérées dans une classe pour dyslexiques ont été, de fait, placées volontairement en situation d'échec scolaire par l'établissement scolaire lui-même, à travers la projection d'un halo négatif non justifié autour du potentiel de ces jeunes filles propre à créer la situation même qui est projetée par ce halo négatif; ce qui est appelé "Effet de Halo", ou également "Effet Pygmalion" ou encore de "Prophétie auto-réalisatrice" (http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Pygmalion).  Au moment où Mme Mino a pris connaissance de ce dossier, les deux jeunes filles étaient au bord du suicide et une d'entre elle avait même déjà un plan établi pour y arriver, il ne manquait que le moment.

L'intervention de Mme Mino en tant que témoin experte devant le tribunal, dans un premier temps, ainsi que son intervention en tant que psychoéducatrice auprès de la mère et des deux jeunes filles axée principalement sur le renforcement positif, aura littéralement permit de non seulement prévenir un drame mais également de rectifier une situation faussement créée de toutes pièces depuis le départ.  En effet, son témoignage en tant qu'experte reconnue devant le tribunal a permit d'identifier l'école comme étant le facteur de compromission du développement des deux jeunes filles, et elle a ainsi pu les retirer du milieu scolaire où elles étaient affectées et ensuite entreprendre de défaire les mauvaises habitudes d'apprentissage inculquées par le milieu scolaire, et ensuite de reprendre le retard scolaire accumulé depuis le temps.  En l'espace d'à peine 3 mois, elles ont effectuées l'équivalent du parcours scolaire correspondant aux 1ière, 2ième, 3ième et 4ième années du primaire, elles ont eu un peu de difficulté à rattraper complètement leur 5ième année durant l'été dû à toutes sortes d'interférences de la part de la DPJ, et en particulier de l'intervenant Stéphane Clavette, ce qui fait qu'elles ont complétées cette partie manquante de la 5ième année en même temps qu'elles ont fait leur 6ième; et elles sont entrées en Secondaire I cet automne en même temps que les autres petites filles de leur âge, et ce avec des notes en nettement au dessus de la moyenne.  Pas mal, pour des fillettes apparemment en troubles d'apprentissage placées à 11 ans en situation d'échec de 4ième année!  Vous pouvez d'ailleurs les entendre de vous même car elles ont participé à l'émission de radio du Mouvement Action Justice du 3 mai 2013 (dans sa version complète, pas la version tronquée qui se trouve sur le site web du MAJ).  Le segment à leur propos débute à environ 1:04:40.

Le troisième cas de DPJ dans lequel s'est impliquée Mme Mino concerne le cas d'un petit garçon faussement étiqueté d'autisme et qui est soumis à de fortes doses de médications afin de contrôler les fortes crises émotionnelles que sa situation inacceptable lui cause.  Ce cas étant fortement similaire à celui dont elle s'était occupé une dizaine d'années plus tôt, et forte de l'expérience positive face à la DPJ concernant les cas des jumelles, Mme Mino avait relativement confiance à la foi dans le système de justice et en ses capacités professionnelles pour faire rétablir les intérêts supérieurs de cet enfant.  Il s'agit du même cas dont je fais mention en détails au sein de mon article "La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis - Dixit un Orphelin lui-même" (http://particitoyenduquebec.blogspot.ca/2013/02/la-dpj-pire-que-les-orphelins-de.html).  Pour vous resituer dans le temps, nous sommes ici dans les derniers mois de 2012, quelques mois avant ma première rencontre avec Mme Mino.  Désirant déjà à l'époque de s'associer au sein d'un mouvement organisé de défense contre les abus de la DPJ, Mme Mino fut à ce moment approchée par un dénommé Jan Stohl, qui est porte-parole du Groupe de Défense des Enfants et de sa Famille (GDEF) où est inclus l'organisme appelé Société d'Aide et d'Information aux Victimes de la DPJ (SAIVDPJ), afin qu'elle se joigne à ce groupe.  Cependant, et comme nous allons le voir plus en détail au fur et à mesure de cet article, il existe des gens qui, bien que sous des apparences de vouloir défendre les victimes d'abus de la DPJ, semble dans les faits opérer selon un agenda caché.  C'est ainsi que, au moment où Mme Mino était pour déposer une requête en justice avec le soit-disant appui du GDEF pour aider ce petit garçon tenu sous contention chimique, M. Stohl a fait bloquer le dépôt de la requête qu'il avait pourtant appuyé et même envoyé un exemple pour la faire, en changeant son fusil d'épaule radicalement la journée même où la requête a été acceptée par une juge à la Chambre de la jeunesse et en envoyant une mise en demeure à celle-ci prétendant que Mme Mino a tenté de prendre le contrôle de son organisme auquel elle n'aurait jamais fait partie selon sa nouvelle version des faits; malgré des courriels qui prouvent pourtant le contraire.  Au-delà des prétentions légales de M. Stohl sur lesquelles je ne m'étendrai pas ici, l'on peut se demander où se situe la défense des intérêts supérieurs de l'enfant dont cette requête avait pour but de faire casser les ordonnances précédentes ayant mené à sa situation actuelle.

C'est d'ailleurs suite à cette éjection par M. Stohl que Mme Mino est entrée en contact avec M. Henri Barnabé du Mouvement Action Justice (MAJ) alors qu'elle était à la recherche d'un local pour organiser la première rencontre de groupe dont j'ai fait mention précédemment et qui a été notre première rencontre entre Mme Mino, M. Barnabé et moi-même, local alors gracieusement fourni par le MAJ par l'entremise de M. Barnabé.  C'est d'ailleurs suite à cette rencontre que j'ai pondu l'article "La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis - Dixit un Orphelin lui-même" (http://particitoyenduquebec.blogspot.ca/2013/02/la-dpj-pire-que-les-orphelins-de.html), et dans les heures qui ont suivi cette publication je recevais une communication privée sur Facebook de M. Stohl qui était rédigée sur un ton très strict, autoritaire, accusateur et même dénigrant envers Mme Mino, allant jusqu'à laisser entendre que celle-ci puisse être "téléguidée" par la DPJ afin d'infiltrer les rangs des groupes de défense contre la DPJ afin de les saboter de l'intérieur.  Il est vrai qu'un tel phénomène existe, et que celui-ci est la source même des diverses tensions et conflits qui divis(ai)ent jusqu'à présent les divers groupes de parents qui tentaient de s'organiser dans leur lutte contre la DPJ, mais avec l'échange d'informations sur des sujets comme la manipulation d'opinion sur les forums internet (http://korben.info/techniques-secretes-controler-forums-opinion-publique.html) et autres techniques de désinformation (http://www.psychomedia.qc.ca/societe/2012-09-21/desinformation-mecanismes-strategies-pour-la-contrer) ceux-ci sont maintenant plus facilement débusquables et donc neutralisables, et à la lumière de ce que j'en sais aujourd'hui, j'ai plutôt de fortes raisons de croire que c'est M. Stohl qui joue un double-jeu, ainsi que d'autres personnes comme nous allons le voir.  Nul besoin de mentionner qu'en vertu d'une certaine expérience avec des personnes manipulatrices et de ce que je voyais de Mme Mino, j'avais énormément de difficulté à concevoir que ce que M. Stohl me disait pouvait correspondre à la réalité.  De plus, son ton sec et autoritaire avec moi m'a immédiatement mis sur la défensive, ce qui, pour le cas d'une autre personne que moi, aurait pu causer celle-ci de n'opposer aucune réflexion ni résistance, mais qui, dans mon cas, a eu l'effet absolument contraire en me faisant me braquer sur mes positions dans une attitude comparable à celle associée à une guerre de tranchées.

C'est donc dans ce contexte particulier que j'ai fait la rencontre et commencé à côtoyer Chantal Mino, sporadiquement d'abord puis sur une base plus régulière, voire même quotidienne, suite à notre implication respective et simultanée au sein du Mouvement Action Justice, suite aux demandes répétées de MM. Zitouni et Barnabé à cet effet.  Une rencontre qui devait s'avérer plus tard déterminante pour la suite des choses.


L'aventure commence...


Moi qui est l'auteur de ces lignes se doit à ce point-ci de vous faire un aveu concernant la rédaction de cet article, c'est-à-dire que sa rédaction originale en a été interrompue de manière abrupte par manque de temps à y consacrer tant j'ai eu à subir moi aussi les représailles de l'État du Québec, incluant au niveau de ma vie personnelle, depuis que j'ai repris en charge la dénonciation de dossiers abusifs de la DPJ aux côtés de Mme Mino.  À ce stade-ci de la rédaction, alors que je reprends du collier après une pause de près de 6 mois, je ne peux que constater que beaucoup d'eau à coulé sous les ponts depuis, et que certains éléments que je désirais inclure originalement dans cet article ont été rendus publics à travers un autre médium depuis, notamment à travers l'une de nos 2 séries d'émissions de webtélé diffusés les lundis soirs sur www.Douteux.tv, ou encore que je ne dispose pas du temps nécessaire à consacrer pour bien étayer certains autres éléments que je désirais inclure dans cet article afin d'illustrer le large éventail et les diverses formes parfois sournoises que ces représailles peuvent prendre, pouvant aller jusqu'au comportement de gens proches de nous qui change radicalement à notre égard du jour au lendemain.  Le nombre de preuves à l'appui de ces divers éléments contribuent à allonger et alourdir l'article qui, lui, s'allongeait de jour en jour en fur et à mesure que nous découvrions de nouveaux éléments montrant clairement qu'un complot concerté était à l'oeuvre contre nous dans le but de nous nuire dans nos démarches d'assistance bénévole à personnes dans le besoin.

C'est ainsi que j'en viens à ce stade à devoir diverger quelque peu du plan original que j'avais conçu au départ pour cet article, qui comportait une chronologie assez détaillée de divers aspects à prendre en compte dans l'évaluation de la situation dans son ensemble, incluant la trahison du Mouvement Action-Justice et les fausses factures de plus de 2000$ de Bell Canada envoyées à Mme Mino dans le seul but de la harceler, mais dans les conditions actuelles et dans l'urgence de défendre nos réputations alors qu'elles sont attaquées de toutes parts, nottamment en justice et sur les médias sociaux, je me dois de faire un tri et de réaligner mon plan de rédaction en conséquence.  De ces quelques éléments laissés de côtés pour le moment, un article sur ce sujet sera rédigé lorsque le temps le permettra (ou encore à travers l'une de nos émissions de webtélé, c'est selon); de ces autres éléments déjà couverts par d'autres médiums, ils seront incorporés à cet article sous cette nouvelle forme.  Le résultat final ne devrait pas trop diverger de ce qu'était mon intention originale lorsque j'en ai entrepris la rédaction en juin dernier.

Donc, ceci étant dit, pour en revenir à notre histoire, et je passerai rapidement sur le sujet ici pour les raisons évoquées dans le paragraphe précédent, nous en étions au moment où Chantal Mino et moi-même avions commencé à collaborer sur une base plus régulière, voire presque quotidienne, alors que nous oeuvrions au sein du Mouvement Action-Justice (MAJ).  C'est dans ce contexte, en plus de notre participation à l'émission de radio hebdomadaire du MAJ, que j'ai commencé à accompagner Mme Mino aux palais de justice en soutien à des parents qui avaient fait appel à notre aide à travers le MAJ, parfois avec d'autres membres du MAJ à nos côtés.  Ces parents nous avaient tous fait part des mêmes problématiques, à savoir qu'ils n'étaient pas entendus à la cour, qu'ils étaient mal défendus par leurs avocats, que je juge avait un parti pris pour la DPJ, etc.  Notre rôle consistait donc, à cette époque, à accompagner les parents en tant que soutien moral et en tant que témoins.  Nous étions également équipés de matériel d'enregistrement pour la collecte d'éventuelles preuves de malversation et pour la protection légale des parents.  L'une des problématiques rencontrées est celle des avocats, particulièrement ceux de l'aide juridique, qui se désistent en série du dossier au moment même où ils en prennent possession, ce qui induit des délais inutiles dans un dossier qui en vient qu'à stagner alors que le parent recherche justement une résolution rapide en sa faveur, du fait que leur enfant leur est enlevé pendant tout ce temps.  La technique est simple : le jour de l'audience, l'avocat du parent qui est en charge du dossier invoque une raison quelconque pour se désister du dossier; souvent le parent est placé devant le fait accompli, apprenant la nouvelle de la bouche de son avocat le jour même de l'audience, quelques instants avant d'entrer en salle de cour.  Cette procédure est illégale puisque des délais doivent être respectés pour ce faire, mais en général ça roule avec le juge puisque le parent concerné n'est pas au courant de ses droits et des lois en vigueur, faisant habituellement confiance à...  un avocat pour ce genre de choses!  En conséquence, puisque le parent n'est pas en mesure de se défendre pleinement lui-même et qu'il ne dispose pas d'un avocat pour le représenter, l'audience est remise à 30 jours plus tard, le temps pour le parent de se trouver un nouvel avocat.  Le parent se trouve un autre avocat pendant cette période, et 30 jours plus tard, le même scénario se répète.  Ceci peut se reproduire jusqu'à 5 reprises, au bout de quoi le parent aura perdu 5 mois sans son ou ses enfant(s), il aura dépensé argent, énergie et espoir en pure perte, et comme effet secondaire néfaste supplémentaire, celui-ci paraîtra comme "problématique" au yeux de la cour, ne parvenant de toute évidence pas à s'entendre avec aucun avocat, puisque si tous les avocats ont un "problème" avec le parent, c'est que c'est le parent qui doit avoir un "problème".  Parfois, et particulièrement dans ce contexte, il arrive même que le juge fasse fi du droit des parents à une défense pleine et entière et procède tout de même à l'audience de la cause, toujours en défaveur du parent concerné.

Nous avions pu être témoins de ce phénomène à quelques reprises, et désirant outiller les parents aux prises avec cette problématique avec une parade efficace, nous avions prévu le cas en préparant la recherche appropriée pour ce cas de figure.  Alors que nous assistions une mère aux prises avec ce problème particulier, nous avons eu la chance de la conseiller après que son avocate lui ai fait faux-bond (comme nous nous y attendions, puisque celle-ci avait adopté d'emblée les positions de la DPJ au détriment de celles de la mère qu'elle est censée représenter) avec le fruit de ces recherches somme toute assez simples.  Cela a pris la force d'une ou deux phrases toutes simples selon lesquelles la mère se retrouvait mise devant le fait accompli du désistement de son avocate et n'était donc pas dûment en mesure d'être représentée en vertu d'une défense pleine et entière, conformément à de la documentation émanant de l'ONU, et qu'en vertu de quoi, elle demandait un report de l'audience le temps qu'elle se trouve un autre avocat.  Le juge s'est retourné vers les avocats de la DPJ, qui n'ont eu d'autres choix que de s'incliner, eux qui affichaient jusqu'alors l'arrogance de la victoire assurée d'avance.  C'était là le tout premier "gain de cause" pour cette mère face à la DPJ dans son dossier, un bien maigre "gain de cause" je vous l'accorde, d'où l'utilisation de guillemets, mais toujours est-il que son dossier a pris une tangente positive depuis cette intervention, sans aller plus loin dans les détails.  Ces événements se sont déroulés à la Chambre Jeunesse de Montréal.

Forts de cette expérience positive et de notre désir d'aider concrêtement les gens dans le besoin, et pas seulement de leur offrir un "support moral", nous étions convaincus de pouvoir répéter l'expérience avec succès, et commencer à construire sur cette première petite victoire pour commencer à développer les outils nécessaires pour permettre aux parents aux prises avec la DPJ de se défendre eux-même de la meilleure manière possible.  Nous y allions avec prudence mais également avec conviction.

C'est ainsi que nous avons pu constater un autre phénomène dès la semaine suivante : les avocats et le personnel des différents palais de justice se communiquent de l'information entre eux, concernant des causes sans rapports entre elles et dans des districts judiciaires différents géographiquement séparés!  C'est ainsi que nous avons pu constater, dans la même semaine et dans des circonstances en tous points similaires, et ce dans trois palais de justice différents, soient les Chambres Jeunesse de Montréal, de Longueuil et de St-Jérôme, que le "système dépéjien" avait déjà trouvé une parade à la nôtre : de tout simplement museler le parent concerné et l'empêcher de parler!  Bien entendu, ceci va à l'encontre de toutes les règles les plus élémentaires d'un système de justice qui prétend se respecter, mais bon, on est en Chambre Jeunesse de la Cour du Québec ici, alors les juges ont semble-t-il le pouvoir de faire tout ce qu'ils veulent impunément, comme s'ils étaient investis d'une toute-puissance divine.

J'avais l'intention d'inclure dans mon plan original les preuves audio de ce que je viens de décrire, mais je manque du temps nécessaire à la préparation de ces preuves audio afin que celles-ci soient présentables sur Internet; de plus, nous avons diffusés depuis nombre de preuves assez similaires filmées en caméra cachée et diffusées au sein de nos émissions de webtélé.  Mais c'est à partir de ce moment que j'ai fait part à Chantal de mes impressions que nous faisions face alors à une collusion concertée contre nous et que je lui ai exposé ma vision des choses telles que je les explique en préambule de cet article.  C'est également à ce moment que germa l'idée de rédiger cet article afin d'être en mesure de bien exposer la toile d'araignée qui était en train de se tisser autour de nous.

Histoire de bien démontrer le type de cas d'abus de la part de la DPJ dont nous recevions maints témoignages, abus qui incluent l'usage courant du parjure et de l'abus de procédure, j'avais l'intention originalement dans mon plan d'article de vous parler du cas typique de deux intervenants pour lesquels nous avions possession de preuves audio de leurs malversations, preuves audio que je pensait incorporer au sein de l'article.  En lieu et place, je vais plutôt incorporer les deux épisodes de notre émission-phare "L'Union Fait la Force - Ensemble Brisons la Loi du Silence" diffusés sur www.Douteux.tv concernant ces deux intervenants.  Jugez-en par vous-même.

Épisode 2 - "DPJ : Loup, y-es-tu?"


Disclose.tv - L'Union Fait la Force - Épisode 2 - DPJ: Loup, y es-tu?


Épisode 3 - "Avis de Recherche : Léa et Benjamin"


Ce qui m'amène à parler de l'événement qui a mis fin à notre collaboration respective avec le Mouvement Action-Justice, c'est-à-dire l'agression physique qu'a subit Chantal Mino de la part de Me Michel Bélanger, ex-avocat d'un père à qui nous venions en aide en cours de désistement, alors que Mme Mino est allée à son bureau pour chercher des documents dans ce qui a toutes les apparences d'un guet-apens, incluant un lapsus de Me Bélanger qui fait mention de "M. Durocher" en parlant du père en question (son nom de famille n'est même pas ressemblant de près ou de loin à "Durocher") alors que la seule personne que nous connaissons portant ce nom est Me Michèle Durocher, avocate de la DPJ à la Chambre Jeunesse de Montréal; ou encore le refus par la suite de la police de prendre une plainte pour voie de fait, et ce à deux reprises (un appel au 9-1-1 et une visite au poste de police, où l'on peut entendre une version différente de celle des deux premières policières qui ont pris l'appel 9-1-1 et le capitaine du poste de police qui tente de nous détourner vers des recours inutiles, jusqu'à ce qu'il voit ma caméra).  Vous pouvez constater par vous même alors que les preuves de l'incident sont contenues au sein du vidéo suivant, à la fin duquel Mme Mino mentionne qu'elle sera dorénavant toujours accompagnée au sein de ses démarches bénévoles à l'avenir et qui marque le point de départ de notre collaboration étroite à part entière, me portant d'emblée volontaire pour la tâche comme l'ont démontré nos activités des derniers mois.

Agression de Chantal Mino par Me Michel Bélanger, refus de la police de prendre plainte



Comme j'en ai fait mention, dès le lendemain de cet incident, l'attitude des gens du Mouvement Action-Justice s'est littéralement retournée vis-à-vis Chantal Mino, qui semblait être devenue à leurs yeux une personne suspecte, voire qui invente et exagère alors qu'eux-même minimisaient ce qui était pourtant arrivé la veille, preuves à l'appui.  En moins d'une heure ou deux, au fil de la discussion où j'étais présent, j'ai senti une désolidarisation très nette du MAJ envers Chantal, qui était pourtant leur bénévole la plus dévouée et la plus investie, ce qui n'a pas manqué de me mettre la puce à l'oreille que quelque chose clochait.  Étant moi-même bénévole du MAJ à l'époque, et voyant l'attitude soudaine du MAJ envers ma collègue suite à l'agression dont elle a été victime et du refus de la police de prendre la plainte, alors que la mission du MAJ est de JUSTEMENT venir en aide aux victimes d'injustices et d'abus de pouvoirs, et particulièrement en ce qui concerne les comportements non-déontologiques de la police, je n'ai pas pu faire autrement que de me demander si la même chose m'attendrait si jamais la soupe devenait chaude pour moi du fait de mon militantisme.  Comment peuvent-ils prétendre venir en aide aux victimes d'abus de pouvoirs et d'injustices quand ils abandonnent et ostracisent l'une de leur propres bénévoles quand celle-ci est victime d'abus de pouvoir et d'injustice spécifiquement dans le cadre de ses activités bénévoles associées au MAJ?  Sur un plan plus personnel, comment continuer de travailler au MAJ si je sais qu'ils vont sûrement me faire le même coup si je tombe dans le trouble?  Il faut savoir qu'à cette époque, M. Zitouni désirait fortement que je couvre les manifestations urbaines, qui se transformaient alors en souricières automatiques selon la nouvelle mode en vigueur par le SPVM, en me disant qu'il m'écrirait une lettre pour le juge si jamais je recevais un ticket.  Non seulement cette "lettre" n'aurait-elle eu aucun poids légal en cour, mais en plus M. Zitouni a refusé systématiquement de regarder les mises-en-demeure que j'ai utilisé par le passé pour faire sauter un ticket, chose qui aurait normalement dû plus que l'intéresser dans le contexte des souricières et du mandat de MAJ.

C'est donc en prenant toutes ces choses en considération que j'ai décidé de demeurer solidaire de Chantal Mino alors que nous avons démissionné tous les deux en bloc sur le champs.  J'ai en ma possession les preuves audios de ces allégations, et il était dans mon intention de les inclure dans cet article, mais comme pour le reste, le manque de temps m'en empêche de le faire pour le moment, et fera plutôt partie d'un article et/ou vidéo spécifiquement sur ce sujet.

Dans les heures qui suivirent, il se produisit des choses vraiment étranges qui, pendant un moment, ont commencé à me faire doûter de Chantal Mino.  J'ai commencé à recevoir des coups de téléphones de la part de gens que j'ai connus à travers le MAJ (tant des bénévoles que des victimes), alors que je n'ai donné mon numéro de téléphone à personne, me posant toutes sortes de questions en panique suite à la nouvelle de notre départ commun de MAJ, et me questionnant soit à l'effet de savoir si Chantal et moi étions en conflit, soit carrément en tentant de dénigrer Chantal en m'en dépeignant un portrait plutôt convaincant malgré le fait qu'il ne concordait pas du tout avec ce que je connaissais de cette personne que je côtoyais presque quotidiennement depuis plus de 2 mois, parvenant à la longue à semer un doute dans mon esprit à l'effet que j'ai pu peut-être été trompé par une très habile manipulatrice.  Il faut dire que quand j'ai fait référence à un "nid de guêpes" précédemment dans cet article en parlant des groupes de parents dénonçant les abus de la DPJ (une partie de plaisir en comparaison avec cet événement), cette petite tempête téléphonique surprise en a été la confirmation à mes yeux, et ce seul phénomène à lui seul a presque suffit à ce que j'abandonne complètement les dossiers DPJ pour me concentrer uniquement sur mes autres dossiers plus politiques.  Il est clair qu'on commençait à déranger Chantal et moi parce que nous commencions à être efficace, et qu'un certain nombre de personnes se sont concertées pour tenter de nous séparer Chantal et moi, quitte à mentir et à manipuler les apparences, afin que nous demeurions isolés chacun dans notre coin.

Ces personnes ont failli réussir.

Cependant, elles ont commis une toute petite erreur...  Elles en ont trop fait.

Au moment même où commençait à germer dans mon esprit l'idée que Chantal Mino n'était peut-être effectivement pas la personne que je croyais être, il y a eu ma copine de l'époque qui n'a pas pu s'empêcher de mettre son grain de sel en y allant d'un petit commentaire aux apparences très anodines dans le contexte de tout ce que j'étais en train d'entendre depuis un moment.  Elle m'a demandé si je ne trouvais pas que Chantal était un peu "hystérique" par moments.  C'est à ce moment que j'ai réellement réalisé ce qui était en train de se passer en ce moment, que des personnes de pouvoir étaient en ce moment en train de s'organiser pour nous séparer Chantal et moi coûte que coûte, quitte à utiliser toutes leurs munitions en même temps à ce moment critique dans le déroulement des choses.  Et que ces "munitions" incluaient...  ma copine de l'époque!  En effet, j'ai immédiatement trouvé très bizarre que Chantal ait pu lui paraître "hystérique" à aucuns moments, puisqu'elles ne se sont rencontrées qu'une ou deux fois et que les conversations se sont limitées aux banales politesses d'usages, le tout bouclé en 30 secondes ou moins.  Encore plus étrange, l'utilisation spécifique du mot-clé "hystérique", qui revient constamment de la part de ceux qui tentent de dénigrer publiquement Mme Mino.  Sur le champs, l'idée fausse qui était en train de se former dans mon esprit à été remplacée par l'image de la pyramide avec l'oeil qui figure en haut de cet page.  Je ne m'étendrai pas inutilement sur les détails de ma vie personnelle, mais il suffit de savoir que mon ex était employée publique en congé de maladie prolongé à l'époque, et qu'elle se faisait courtiser par son syndicat alors même qu'elle était dans l'incapacité médicale de se présenter au travail depuis quelques mois déjà.  Bien sûr, cette simple information ne constitue pas une preuve béton que mon ex copine faisait partie d'une vaste conspiration à notre égard à Chantal Mino et à moi, mais le contexte général dans lequel cette information est placée est suffisant pour générer un doute raisonnable que ma relation amoureuse de l'époque ait pu avoir été utilisée contre moi à mon insu.  Surtout si l'on prend en compte le changement d'attitude que celle-ci a adopté face à moi par la suite alors que j'ai fait fi de tous les avertissement reçus à l'égard de Chantal, me fiant plutôt à mon instinct et au "pourquoi Chantal Mino est une femme à abattre pour la DPJ".

C'est à partir de ce moment, donc, que commence mon association étroite avec Chantal Mino au sein de notre propre organisme à but non-lucratif, l'Association Internationale des Droits de l'Enfant et de sa Famille (AIDEF) Section Québec, en association avec des chapitres localisés dans 6 pays d'Europe.  C'est également en tant qu'AIDEF Section Québec, et en remplacement des émissions de radio hebdomadaires que nous avions avec le MAJ, que nous avons commencé à produire des émissions de webtélé, ayant été contacté au même moment par les gens de Douteux.tv (qui en est maintenant à sa 2ième année d'existence) qui ont été inspirés par certains de mes écrits dans la création d'un studio de webtélé indépendant et citoyen, histoire de faire contrepoids aux réseaux de télévision traditionnels.  Nous avons également continué d'assister des parents qui nous ont demandés de leur venir en aide, ce qui nous a fournis en "matière première" pour le contenu de nos émissions.  À ce stade de l'article, il m'est donc plus simple de vous référer à nos émissions afin de constater par vous même un aperçu de l'étendue de notre travail depuis lors et des embûches que nous avons dû surmonter, en plus de signes évident de collusion, corruption, conspiration et complot au sein du personnel du système de justice, du ministère de la sécurité publique et de la DPJ.

Je m'en voudrais toutefois de terminer cet article en passant sous silence le fait que Mme Mino a également été intimidée à l'Assemblée Nationale en février 2013 alors que celle-ci s'y présentait pour déposer un mémoire à la Commission sur les Ordres Professionnels; ou encore la radiation illégale de Chantal Mino par l'OPPQ, radiation à laquelle j'ai assisté aux audiences et sur lesquelles je peux dire que la définition même de "personne raisonnable" y a été déformée au point qu'il devienne "raisonnable" qu'une cause devienne "urgente" après avoir été suspendue deux semaines...  le temps que l'avocat de la partie adverse prenne des vacances!  Une partie des preuves de l'illégalité de cette radiation est publiée sur le blog de Mme Mino, "Les aventures de la dangereuse Mino", nommé sarcastiquement d'après l'image de elle que ses ennemis (les employés publics criminels) veulent dépeindre, le reste sera éventuellement rendu public en temps et lieux.  Voici toujours une petite photo des personnes en cause, en attendant.



Je ne voudrais surtout pas omettre non plus l'arrestation brutale et illégale récente dont Chantal Mino a été victime le 15 octobre 2013 au Palais de Justice de Montréal.  Notez que j'ai également été arrêté à ce moment, mais n'ai pas subi autant de préjudices que Mme Mino, de qui on peut dire qu'elle a reçu le "traitement royal" (projection violente au sol, violences physiques, verbales, psychologiques et sexuelles, menaces de mort, 3 fouilles a nu et une nuit passée en prison), comme vous pourrez le constater en visionnant le dernier documentaire de l'AIDEF intitulé "...Et La Justice Pour Tous!".  Ces éléments n'était pas prévus dans le plan original de mon article, puisque je ne pouvais prévoir l'avenir à ce moment, mais dans le contexte des "Aventures Numériques de Tintin contre la DPJ", je crois que je ne peux espérer meilleure conclusion pour clore ce texte.

Arrestation Illégale et Brutale de Chantale Mino Palais de Justice de Montréal




L'Union Fait la Force - Programme Double : ...Et La Justice Pour Tous!




2 commentaires:

  1. Blog de recherches sur les réseaux de pédophiles d'état et d'élite dans le monde: http://dondevamos.canalblog.com/archives/pedo_criminalite/index.html

    Sur les pratiques pédophiles et satanistes de la famille royale anglaise:
    http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/03/18/26679286.html

    "[...] Le réseau pédophile d’élite en Angleterre n’est hélas pas un mythe. Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast. Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. ¨Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé. Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile. On va donc parler de satanisme, de pédocrminalité, et d'une sombre affaire de cérémonie qui a mal tourné dans le sud de la France. [...]"

    "[...] L’affaire château templier en 2001. Là, je vais me démarquer d’un certain David Ike, qui parle aussi des pratiques satanistes de la famille royale, mais ajoute qu’il s’agit de reptiliens. David Ike ne sert qu’à envoyer les gens sur de fausses pistes. L'affaire est très grave, et a été couverte principalement dans le but de faire chanter les coupables.

    En 2001 dans le sud de la France, très probablement dans les Alpes Maritimes, et très probablement entre la mi mai et la mi août, la France a connu une affaire qui a fait jaser dans les services secrets, mais que le bon peuple ignore totalement, hélas. Chaque année, une grande cérémonie satanique est organisée dans un château templier près de Cagnes sur Mer, par et pour la famille royale anglaise. Le gratin sataniste anglais se doit d’y être présent, y compris de nombreux membres du MI5 et du MI6 surtout. Le programme, c’est des orgies, des tortures, des meurtres d’enfants et d’adultes en quantité. Pour cela, il faut de nombreuses proies, qui étaient enfermée dans les sous-sols, où avaient également lieu les rituels. Précisons que tout le monde est complètement défoncé, voire à moitié hypnotisé, et que des jeux de rôle mélangeaient encore les choses davantage.

    Le truc, c’est qu’en 2001, de nombreuses victimes se sont échappées[10]. Ce qui a entrainé une véritable panique dans la campagne environnante et l’intervention de la gendarmerie française. Celle-ci a ensuite a fait venir l’armée anglaise, afin d’exfiltrer des membres de la famille royale, au moins William et Philip, en les cachant avec des sacs de pommes de terre qui les couvraient jusqu’à la taille [11]. De cette manière, ni les flics français ni les militaires anglais présents ne savaient qui avait été sorti discrètement du château et mis à l’arrière d’un van.

    110425e-image-dut-4417Tout aurait été pour le mieux si des services étrangers n’avaient pas mis la main sur des vidéos réalisées lors des rituels dans le château. La CIA, le Mossad, ont ainsi leurs exemplaires, et il semble que des copies soient en vente un peu partout dans le monde.

    Apparemment, plusieurs satanistes anglais sont sous le coup de chantages qui leur coûtent très cher depuis cette affaire.

    Pourquoi ne bon peuple n'a-t-il pas le droit de savoir que cela est arrivé, et pourquoi ne peut-on pas en connaître les conséquences, notamment au niveau géopolitique? Car, il semble que 12 ans après, on en subit encore les conséquences. Enfin, il est clair que ça continue, puisque l'impunité règne et que les satanistes cocaïnés dirigent le monde. Question: combien d'enfants -et d'adultes, surtout des femmes- sont-ils massacrés lors des délires de cette bande de tarés? Et jusqu'à quand cela doit-il durer? [...]"

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  2. Peut être pouvez vous proposez votre article à des sites plus libres d'infos comme http://www.alterinfo.net/ ou http://www.agoravox.fr/ ou http://www.agoravox.tv/

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