ATTENDUS :
- Attendu la lutte historique du Québec pour sa libération.
- Attendu que le Québec est une culture unique dans le monde et qu’elle doit être sauvegardée,ne serait-ce qu’au nom la protection du patrimoine mondial et de la diversité culturelle internationale.
- Attendu que le Québec est le seul foyer de la francophonie en Amérique et que chaque citoyen et citoyenne doit veiller à sa pérennité.
- Attendu les abus et les fraudes du gouvernement fédéral canadien au référendum de 1995.
- Attendu qu’une majorité de francophones ont voté "Oui" en 1995.
- Attendu qu’aucun gouvernement du Québec quel qu’il soit, n’a jamais entériné la Constitution canadienne de 1982.
- Attendu que la Cour suprême du Canada invalide sans cesse des lois importantes votées par l’Assemblée nationale.
- Attendu que l’adhésion du Québec ne s’est pas faite par voie référendaire.
- Attendu l’urgence de libérer, d’émanciper et d’affirmer une culture menacée et un peuple qui risque sa disparition.
- Attendu la reconnaissance même de la légitimité d’une déclaration d’indépendance par la Cour internationale de justice.
- Nous déclarons que l’État du Québec est désormais un pays libre et indépendant.
Source :
La légitimité de l’État du Québec n’est plus à prouver :
http://www.vigile.net/La-legitimite-de-l-Etat-du-Quebec
Rédigé par Christian Montmarquette 4 août 2010
Annoté par Danièle Fortin 5 mai 2011
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PÉTITION WEB
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Refus de reconnaître la constitution canadienne et l'Acte d'Amérique du Nord Britannique.
Refus de reconnaître l'État canadien, ses représentants et commettants comme autorité sur le territoire Québécois.
Refus de reconnaître la dette publique créée de toute pièce par le système bancaire canadien.
Refus de reconnaître le système politique actuel et son mode de scrutin issu de cette même constitution (Britannique) tant au niveau fédéral, provincial que municipal.
Refus de reconnaître la loi sur les mines vieille de 100 ans donnant droits aux industriels étranger d’exproprier, d’explorer et d’exploiter nos ressources.
Refus catégorique de reconnaître le PLAN NORD du PLQ de Jean Charest.
Refus de reconnaître la sécession du Labrador par la couronne Britannique sans le consentement du Québec aux mains de Terre-Neuve.
Refus de reconnaître la légitimité du gouvernement du Québec qui agit anti démocratiquement en notre nom et va à l’encontre du mandat donné par le peuple du Québec.
Refus de léguer à un quelconque représentant de l’État Québécois le droit d'exercer à mon insu et cédé à des entreprises privées et souvent étrangères les droits sur nos ressources naturelles eau, air, terre, ainsi que vendre ou léguer à quiconque les droits et brevets technologique comme celui du moteur-roue.
Refus de reconnaître à Hydro Québec les droits d’exploration et d’exploitation de nos ressources énergétiques (Rivières) qui constituent notre bien commun sans le consentement du peuple Québécois.
Refus de reconnaître toutes ententes, traités ou accords internationaux comme l’ALENA, l'Union Nord-Américaine, la Banque Mondiale, le FMI et l'OMC.
Refus d’accorder le monopole à l’Union des producteurs agricoles UPA sur son territoire et favoriser l’agriculture paysanne.
Refus de permettre aux agriculteurs d’utiliser des semences génétiquement modifié OGM sur les terres du Québec ou de répandre sans considération des pesticides chimiques.
Refus d’accueillir de nouveaux immigrants de tout vents tout côtés, de manière insouciante et sans égards à leur capacité ou leur volonté d'intégration à la société Québécoise.
Refus de reconnaître les accommodements dits « raisonnables ».
Refus d'empêcher aux médecins étranger et immigrants reçu de pratiquer la médecine au Québec.
Refus à l’augmentation des frais de scolarité et de la santé.
Refus de fermer les yeux sur la corruption, les duperies perpétrées par les amis du régime et les bonus ou primes accordé pour service rendu, et des reconnaissances dues.
Refus de reconnaître le pouvoir de l’État de poursuivre l'irrévocable décadence et l’appauvrissement du peuple Québécois par des taxes sur la taxe.
Refus catégorique de laisser dans l’indifférence les peuples autochtones.
Refus de la tenue de sommets comme le G-8 ou G-20 et la venue des sbires de ce monde sur notre territoire.
Refus de reconnaître cette justice permettant aux escouades Anti-émeute de matraquer sans raison des manifestants pacifistes comme dans les années 70 avec le samedi de la matraque ou à Québec au sommet des Amériques en 2001.
Refus catégorique à l'établissement d'état-policier à la botte d'une dictature mondialiste.
Refus à l'assimilation. (ajouté par P.-L. Herrera)
Dans le Refus global,
C’est de rompre définitivement avec le laxisme et l’attentisme.
Nous prenons allégrement l'entière responsabilité de demain dans un effort intelligent, pour une démocratie haute vitesse 3.0.
Nos passions façonnent spontanément notre identité propre et nécessairement protégera notre avenir en tant que peuple unique au monde.
Par nos signatures nous refusons et nous protestons contre notre asservissement et réclamons de cette liberté qu’elle puisse nous sortir de l'impasse et nous propulse vers une société à naître.
Si nos activités se font pressantes, c'est que nous ressentons ardemment l'urgent besoin de s’unir pour réussir.
Hier, nous étions seuls et indécis.
Aujourd'hui c’est le début d’un temps nouveau avec Démocratie 2.0 ce groupe aux ramifications profondes et courageuses qui débordent déjà d’énergie et surpasse les frontières.
Un magnifique devoir nous attend, c’est de maintenir nos forces vives dans l'action pour conserver ce précieux trésor qui nous appartient à tous et qui ce trouve dans le destin de notre histoire.
Notre culture doit survivre aux attaques répétées et doit subsister pour les générations à venir.
Que ceux tentés par l'aventure se joignent à nous afin de nous libérer de nos attelles.
Nous n'avons pas à nous soucier de ce que demain sera fait, inventons-le.
Je vous invite à compléter ce manifeste du Refus Global!
À vous maintenant de trouver d’autres REFUS de _________.
« Maître chez soi ! Grand mot qu’on ose enfin prononcer. Encore faut-il bien se rendre compte de ce qu’il sous-entend. [...] Ce serait, si je ne me trompe, être maître de sa politique, j’entends de son gouvernement, de son parlement, de sa législation, de ses relations avec l’étranger, ne pas subir, en ce domaine, de tutelle indue ; cela veut dire encore, être maître, dans la mesure du possible, à l’heure contemporaine, de sa vie économique et sociale, exploiter pour soi et non pour les autres, ses ressources naturelles, toutes ses ressources naturelles, posséder les moyens de financer son administration, ses institutions d’enseignement, de bien-être social ; ces moyens, ne pas être obligé d’aller les mendier chez qui que ce soit. Cela veut dire aussi, pour une nation trop longtemps colonisée, un ressourcement aux fontaines vives de sa culture... » - Lionel Groulx, 7 juin 1964.
Rédigé par André Taillon 4 mai 2011
Annoté par Adam Richard 5 mai 2011
Co-signataires :
Hugo Girard
Mario Prévost
Gilberte Boucher
Marie-Josée Drolet
Carl d'Anjou
Andréanne Chabot
Pablo Lugo Herrera
Mario G. Bergeron
Lucie Mayer
Yvon Richard
???
(Vous pouvez ajouter votre signature en commentaire à cet article)
Yvon Richard, indépendantiste depuis trop longtemps déjà, j'ai hâte d'être enfin citoyen, de mon, notre pays.
RépondreSupprimerEt c'est plus proche encore que tu penses. Prends 2 minutes et va lire les articles 32 et 53 de la Charte des Droits et Libertés enchâssée dans la présente Constitution Canadienne, et reviens-moi là-dessus me dire ce que t'en penses...
RépondreSupprimerhttp://lois-laws.justice.gc.ca/fra/Const//page-12.html
et
http://lois-laws.justice.gc.ca/fra/Const//page-12.html
"
Application de la charte
32. (1) La présente charte s'applique :
a) au Parlement et au gouvernement du Canada, pour tous les domaines relevant du Parlement, y compris ceux qui concernent le territoire du Yukon et les territoires du Nord-Ouest;
b) à la législature et au gouvernement de chaque province, pour tous les domaines relevant de cette législature."
et
"
Primauté de la Constitution du Canada
52. (1) La Constitution du Canada est la loi suprême du Canada; elle rend inopérantes les dispositions incompatibles de toute autre règle de droit.
Constitution du Canada
(2) La Constitution du Canada comprend :
a) la Loi de 1982 sur le Canada, y compris la présente loi;
b) les textes législatifs et les décrets figurant à l'annexe;
c) les modifications des textes législatifs et des décrets mentionnés aux alinéas a) ou b).
Modification
(3) La Constitution du Canada ne peut être modifiée que conformément aux pouvoirs conférés par elle."
En bref, la fameuse Constitution du Canada ne s'applique QU'AU parlement et QU'AU gouvernement. Pas à nous, le peuple, à moins d'être fonctionnaire de l'état. Et même là, seulement pendant que vous êtes en fonction. Et cette loi est la loi suprême à laquelle ce même gouvernement et parlement se doivent de se soumettre, pas nous les citoyens... Que nous sommes Québécois ou British Columbian, indépendantiste ou non.
Mais mettons que dans le contexte politique du Québec, y'a de quoi à faire avec ça dès maintenant, et il faut pas s'attendre à un parti politique pour amener un tel élément dans une "stratégie de sécession".
Cela fait partie des choses sur lesquelles de travaille dernièrement... Ce n'est qu'on petit échantillon des connaissances apprises récemment... ;-)